Deux écoles américaines de Géorgie, déplorant les médiocres résultats scolaires de leur clientèle, ont décidé de payer les mauvais élèves 8$ l'heure pour qu'ils participent à des séances de soutien scolaire, selon un texte de l'Agence France Presse.
Ça se passe à l'école secondaire Creekside High, de Fairburn, près d'Atlanta. Les enfants sont enthousiastes, le directeur de l'école se félicite. La vingtaine d'élèves sélectionnés en fonction de leurs mauvais résultats peuvent gagner jusqu'à 32 $ par semaine s'ils sont assidus et même empocher une prime de 125 $ à la fin de l'exercice s'ils réussissent à obtenir un B dans leurs devoirs de science ou de mathématique.
Vous en voulez davantage? Sur le site de LCI.fr on apprend que les enfants du village espagnol de Noblejas seront désormais payés pour lire. Ainsi en a décidé leur maire, Agustin Jimenez Crespo, persuadé que cette initiative "pionnière" leur fera aimer la lecture. Les enfants des écoles primaires du village recevront un Euro par heure passée à lire à la bibliothèque.
Ça doit faire une semaine que je lis et relis ces deux nouvelles gardées précieusement dans ma banque de nouvelles insolites. J'essaie de comprendre la logique derrière tout cela. Hormis un manque total d'imagination de la part de ces deux dirigeants, je n'en trouve pas. L'argent peut nous motiver à travailler pour un certain temps, même si on déteste notre travail, mais c'est bien connu il me semble, à long terme, la motivation basée uniquement sur une récompense monétaire finit par s'éteindre aussi rapidement qu'elle est apparue. On se met alors à traîner de la patte, notre productivité et notre efficacité diminue, on emmerde les gens autour de nous et on finit tomber malade pour ne plus avoir à accomplir une tâche qui nous déplaît.
Les humains carburent au plaisir bien plus qu'à l'argent, j'en suis convaincue. C'est encore plus vrai pour les enfants. Si nos jeunes n'aiment pas lire ou qu'ils n'arrivent plus à se motiver en classe, c'est en général parce qu'ils n'y trouvent aucun plaisir, n'en retirent aucune satisfaction personnelle ou qu'ils n'arrivent pas à trouver un sens à ce qu'on leur demande d'accomplir. Il arrive aussi que la tâche soit au dessus de leurs capacités ou en deçà. Trop difficile ou trop facile, c'est du pareil au même. Ils finissent par s'emmerder et s'enfuient dans leurs rêves, là où ils trouvent encore un peu de plaisir. Dans certains cas, ils sont beaucoup trop préoccupés par leurs problèmes familiaux pour pouvoir s'intéresser à quoique ce soit. Les enfants paresseux n'existent pas, m'a dit un jour un professeur d'université que je respecte énormément. Il n'y a que des enfants démotivés entourés d'adultes tout aussi démotivés qui ont renoncé à trouver la véritable source du problème de démotivation auquel ils sont confronté.
Rénée Laurin, Canoe, 13 février 2008.
Ça se passe à l'école secondaire Creekside High, de Fairburn, près d'Atlanta. Les enfants sont enthousiastes, le directeur de l'école se félicite. La vingtaine d'élèves sélectionnés en fonction de leurs mauvais résultats peuvent gagner jusqu'à 32 $ par semaine s'ils sont assidus et même empocher une prime de 125 $ à la fin de l'exercice s'ils réussissent à obtenir un B dans leurs devoirs de science ou de mathématique.
Vous en voulez davantage? Sur le site de LCI.fr on apprend que les enfants du village espagnol de Noblejas seront désormais payés pour lire. Ainsi en a décidé leur maire, Agustin Jimenez Crespo, persuadé que cette initiative "pionnière" leur fera aimer la lecture. Les enfants des écoles primaires du village recevront un Euro par heure passée à lire à la bibliothèque.
Ça doit faire une semaine que je lis et relis ces deux nouvelles gardées précieusement dans ma banque de nouvelles insolites. J'essaie de comprendre la logique derrière tout cela. Hormis un manque total d'imagination de la part de ces deux dirigeants, je n'en trouve pas. L'argent peut nous motiver à travailler pour un certain temps, même si on déteste notre travail, mais c'est bien connu il me semble, à long terme, la motivation basée uniquement sur une récompense monétaire finit par s'éteindre aussi rapidement qu'elle est apparue. On se met alors à traîner de la patte, notre productivité et notre efficacité diminue, on emmerde les gens autour de nous et on finit tomber malade pour ne plus avoir à accomplir une tâche qui nous déplaît.
Les humains carburent au plaisir bien plus qu'à l'argent, j'en suis convaincue. C'est encore plus vrai pour les enfants. Si nos jeunes n'aiment pas lire ou qu'ils n'arrivent plus à se motiver en classe, c'est en général parce qu'ils n'y trouvent aucun plaisir, n'en retirent aucune satisfaction personnelle ou qu'ils n'arrivent pas à trouver un sens à ce qu'on leur demande d'accomplir. Il arrive aussi que la tâche soit au dessus de leurs capacités ou en deçà. Trop difficile ou trop facile, c'est du pareil au même. Ils finissent par s'emmerder et s'enfuient dans leurs rêves, là où ils trouvent encore un peu de plaisir. Dans certains cas, ils sont beaucoup trop préoccupés par leurs problèmes familiaux pour pouvoir s'intéresser à quoique ce soit. Les enfants paresseux n'existent pas, m'a dit un jour un professeur d'université que je respecte énormément. Il n'y a que des enfants démotivés entourés d'adultes tout aussi démotivés qui ont renoncé à trouver la véritable source du problème de démotivation auquel ils sont confronté.
Rénée Laurin, Canoe, 13 février 2008.
34 commentaires:
Que penser des façons de motiver les jeunes énoncées ci-haut ? Il est certain qu'elles sont étranges et très matérialistes, mais je crois qu'elles peuvent fonctionner.
Lorsque j'étais jeune, mes parents utilisaient un peu ce principe. Comme je ne voulais jamais lire, ils me stimulaient avec des récompenses.Lorsque je finissais la lecture d'un roman, j'avais toujours le droit à une petite somme d'argent ( moins de 10 $). Plus le roman était gros et plus la somme était élevée. Vous allez rire, mais ça fonctionnait. J'avais hâte de lire et de finir mes romans pour avoir le ''bonus'' final avec lequel je m'achetais des bonbons ou des jouets :). Quand j'ai vieilli, ils ont arrêté ce fonctionnement. Par contre, à force de lire (pour avoir de l'argent), j'avais fini par aimer la lecture. Pour moi, c'était devenue une passion, un passe-temps. Ce n'était plus pénible. Alors j'ai continué à lire malgré le fait que mes parents ne me donnaient plus de ''récompenses''.
J'avoue que les techniques utilisées par les écoles américaines de Georgie sont très spéciales, mais je serais curieuse de voir si les résultats des étudiants ont réellement augmentés depuis le début du processus. Je ne suis pas d'accord avec l'auteure du texte précédent.Celle-ci déclare que l'argent motivera les jeunes pour un moment, mais qu'après ils retrouveront leurs vieilles habitudes. À mon avis, l'argent stimulera les élèves à travailler et à lire pour un bon moment. Ensuite, lorsque le directeur décidera que s'en est assez, je crois qu'il y aura beaucoup d'élèves qui continueront se qu'ils ont entreprit. En effet, beaucoup d'étudiants ont de mauvaises notes parce qu'ils croient qu'ils sont incapables de faire mieux et que c'est très difficile d'avoir de bons résultats. Par contre, lorsque ces jeunes travailleront ( pour l'argent) ils réaliseront que ce n'est pas si dure et seront très fier d'eux et de leurs bons résultats. Alors, ils voudront continuer. Même chose pour ceux qui sont payés pour lire peut-être découvriront-ils en lisant ( pour l'argent) une passion pour certains types de bouquins et il y a de fortes chances qu'ils continuent à lire par la suite.
Il est certain que cette façon de fonctionner ne marchera pas pour tout le monde ( à long terme), mais si ça fonctionne pour une majorité alors ils auront réussit à améliorer les notes de plusieurs élèves et à les faire apprécier la lecture. Je pense que ça vaut le coup d'essayer pas vous ?
Je suis d'accord que la démotivation des enseignants peut nuire énormément aux performances d'un étudiant. Par contre les solutions énoncées au départ ne sont pas si ridicule. Je crois que ça vaudrait la peine de les testées.
Le seul petit problème avec ces façons de fonctionner, c'est que ça pousse les jeunes à vivent pour l'argent et à être encore plus matérialiste qu'ils ne le sont déjà. Mais bon, chaque chose a des avantages et des désavantages...
Je suis en désaccord avec le fait de payer les mauvais élèves pour qu'ils se forcent à l'école. Le gouvernement donne de l'argent aux élèves pour faire ce qu'ils sont supposés faire: aller à l'école. L'école est faite pour apprendre afin de devenir de bon citoyen et de bon consommateur, lorsqu'ils entreront dans le milieu du travail. Cette façon d'agir n'est pas la meilleure initiative soit en achetant les jeunes par l'argent. Contrairement, il devrait essayer de trouver des solutions pour que l'éducation soit plus motivante pour les étudiants. Selon moi, l'exception que nous pouvons accepter pour cette façon de faire est pour des gens défavorisés, car plusieurs élèves ne peuvent pas rester à l'école comme ils doivent aller travailler afin de subvenir aux besoins de la famille. Dans cette optique, je trouve cela plus raisonnable, mais pas pour les gens qui échouent. De toute façon, les élèves devraient être assez matures pour connaître les impacts qu'il peut y avoir s'ils ne réussissent pas ou bien s'ils ne mettent pas leur effort pour réussir. Cela ne devrait pas être l'argent, mais un rêve, un but que nous voulons atteindre, qui va nous pousser à réussir. L'école fait partie de la préparation, le début de la démarche en route vers la réussite de notre rêve.
Je suis complètement en accord avec ce que Rénée Laurin mentionne dans son article. Je crois que, comme elle le mentionne , ''Les humains carburent au plaisir bien plus qu'à l'argent'', est véridict, car l'humain est bel et bien attiré par l'argent, mais si ce qu'il fait ne le passionne pas, il terminera par ne plus avoir l'envie de continuer. Je crois bien que cette idée de payer des élèves, pour les inciter à travailler à l'école, est farfelue. Je crois que nous devons trouver d'autres moyens pour pouvoir aider les élèves qui en ont le besoin. Selon moi, cette idée fera une habitude aux jeunes et que si ils ne sont plus payer, ils ne voudront certainement pas continuer de s'efforcer dans leurs études. En plus, comme Mme Laurin le mentionne, nous pouvons pas forcer quelqu'un à faire quelque chose qui n'aime pas, car un jour ou un autre il terminera par être tanner de ce qu'il fait. Cela est vrai dans tous les domaines que ce soit le sport, les études et le travail. En conclusion, je crois que Rénée Laurin dit vrai et que nous devrions trouver d'autres moyens pour aider aux jeunes dans leurs études.
Ahh les jeunes d’aujourd’hui! Par contre, pour quoi, on n’a pas cela, nous. J’aurais toujours des 100%, si c’était le cas. Ben non, sérieusement, c’est désespéré ça.
Je ne trouve pas cela juste pour ceux qui se forcent pour avoir des bonnes notes. En tant qu’adolescente, tout le monde tombe démotivé de temps en temps. Mais cela n’empêche qu’on doit se redresser et continuer à travailler, car l’avenir nous promesse beaucoup de choses. Il faut, dès un jeune âge apprendre que tout les effort dépensé n’est jamais perdu. Les bonnes notes obtenues, sont pour notre bien, il va falloir apprendre cela aux jeunes. Sérieusement, je comprends que les enfants soient démotivés, mais il va falloir aussi, trouver un autre moyen pour garder leur motivation. C’est sûr qu’un professeur sait quel livre un enfant va plus aimer ou pas, alors pourquoi faire lire un livre hyper plate, au lieu de choisir un roman beaucoup plus captivant et amusant, rempli d’action. Rénée Laurin, dit vrai quand elle annonce: « …J'essaie de comprendre la logique derrière tout cela. Hormis un manque total d'imagination de la part de ces deux dirigeants, je n'en trouve pas. L'argent peut nous motiver à travailler pour un certain temps, même si on déteste notre travail, mais c'est bien connu il me semble, à long terme, la motivation basée uniquement sur une récompense monétaire finit par s'éteindre aussi rapidement qu'elle est apparue. On se met alors à traîner de la patte, notre productivité et notre efficacité diminue, on emmerde les gens autour de nous et on finit tomber malade pour ne plus avoir à accomplir une tâche qui nous déplaît. » Il va falloir trouver d’autre moyens pour intéresser les élèves, l’argent ne se figure pas dans ses options là.
Par exemple je me rappel l’an passé, ceux qui avait reçu 100% en math recevait un billet de cinéma, avec un certain professeur de Math. Cela, est plus une bonne façon à garder l’intérêt dans ces matières compliquées. Voir même, il va falloir peut-être une nouvelle pédagogie? Évidement, ce que j’ai constatée, est le suivant : ce qui exerce le métier de professeur pendant très longtemps, n’a pas tendance à changer ses valeurs et ses habitudes de travail. Pourtant, les nouveaux jeunes professeurs, souvent savent comment garder l’intérêt de ses élèves, car ils savent que cette nouvelle génération est plus « paresseuse » et « démotivés ».
Finalement, c’est triste savoir qu’on est descendu à un tel point, donner l’argent aux enfants pour qu’ils lisent. Quoi, bientôt on va donner l’argent pour qu’ils arrêtent de clavarder? C’est absurde, il faut que les parents montrent à leurs enfants, l’importance des études. Au pire des cas, l’enfant va remarquer quand il va faire 30h semaine à Mcdonald. Une chance que les études ici, ce n’est jamais trop tard. De plus, ici on est trop gâtés. Il y a des enfants dans les pays du tiers monde qui rêveraient d’avoir simplement une classe avec des chaises et des livres. Comme un de nos profs de math a dit aujourd’hui « le meilleur cadeaux que mes parents m’ont offert, est mon éducation, alors éduquer vos enfants ».
Je suis d’accord avec l’auteure que si les étudiants ne retirent aucune satisfaction ou ne voient pas de but dans ce qu’ils font, ils vont être démotivés et vont graduellement lâcher. Le fait qu’ils reçoivent une récompense est un bon motif, on peut comparer le bonus à une bourse d’étude. D’une manière l’étudiant est payé pour ses efforts à l’école. Le seul problème mineur avec la bourse d’étude c’est seulement abordable au plus fort, tandis qu’a l'école secondaire Creekside High l’argent est beaucoup plus accessible pour tout le monde. Ce qui veut dire un plus grand nombre personnes peuvent être concerné avec cette motivation/récompense. Cela est peut-être un désavantage, par contre on doit utiliser notre défaut, le fait de toujours penser à l’argent, et le convertir en avantage qui nous pousserons a mieux étudier pour le bien notre avenir.
Je suis totalement en désaccord avec le fait de donner de l’argent aux étudiants pour les motiver à mieux réussir à l’école ou à lire. Il est certain que l’argent constitue une source de motivation pour les jeunes qui ne s’appliquent pas dans leurs travaux ou leurs études, par contre, je ne crois pas que cette méthode est la meilleure et que c’est celle que l’on devrait adopter afin d’aider les étudiants qui ont des difficultés à l’école.
Selon moi, la plupart des élèves en difficulté manquent d’encadrement pédagogique dans leur établissement scolaire. D’après la présidente de la commission scolaire de Montréal, La CSDM compte environ 13 000 élèves en difficulté soit 24 % de ses étudiants. Cela démontre qu’un grand nombre de jeunes a besoin d’aide, d’être mieux encadré et qu’il est enfin temps de réagir face à cette situation. Dans ces cas-ci je ne crois pas du tout que l’argent serait une solution afin de leur venir en aide. On pourrait par exemple créer des classes spécialisées pour ces enfants en difficulté. Vous me direz qu’elles existent déjà. Bien sûr qu’elles existent! Par contre, elles ne sont pas présentes en très grand nombre. De plus, une autre solution serait de réduire le nombre d’élèves par classe afin que l’enseignant puisse avoir un meilleur suivi de ses étudiants et ainsi, aider ceux dans le besoin.
Évidemment, comme le mentionne Mme Laurin, le fait que les jeunes soient entourés d’adultes démotivés ne les aidera pas du tout à s’épanouir, vouloir bien réussir leurs études, ou même à aimer l’école. Si, au contraire, leurs enseignants ainsi que leurs parents sont derrière eux et les motivent à se surpasser, je crois que cela peut faire toute une différence. Expliquer aux plus jeunes que s’ils performent bien à l’école, ils pourront exercer le métier dont ils rêvent de faire plus tard, est, selon moi, une meilleure solution que de leur donner de l’argent pour les pousser à avoir de bonnes notes et bien faire leurs travaux.
Finalement, je pense qu’il existe une multitude d’autres solutions à utiliser que de donner de l’argent aux jeunes afin de les motiver à se surpasser.
Un manque total d’imagination comme le dit si bien l’auteur, mais si ca fonctionne pourquoi pas? De toute façon, ne sommes-nous pas déjà embarqué dans un système vicieux où le capital passe avant tout?
On entend toujours les gens dire : «Choisissez un travail que vous aimez, peu importe le salaire car vous deviez passer le restant de votre vie à le faire ». Par contre, je me souviens bien ce que M.Bourque a répondu à la phrase plus haut. «Gauche de cœur, droite de poche». À ces deux phrases, on peut constater qu’il y a seulement deux types de personnes dans la société de nos jours : ceux qui choisissent un métier par intérêt ou ceux qui prétendent aimer leur profession, mais qui le font pour le salaire qu’il leur est offert. Cette optique s’applique aussi très bien au contexte scolaire. Dans ce sens, la perte de motivation n’aura pas lieux puisque la personne est consciente qu’elle le fait seulement pour la paye et non pour le plaisir.
Dans la vie, il faut faire des choix car on ne peut pas tout avoir. Les enfants qui le feront pour l’argent persisteront puisque se sera leur source de motivation.
Va à l’école, tu auras un avenir. L’éducation est la clé de la réussite comme on dit. Par contre, ça sert à rien de parler d’avenir à un jeune qui n’en veut pas. En effet, il existe ce genre de personnes dans la société qui vivent pour aujourd’hui ne s’occupant pas du futur. Ils savent très bien qu’il n’y a rien de prévu pour demain, mais c’est leur idéologie. Donc, selon moi, même si les élèves seront payés pour étudier, cela ne changera pas grand chose, surtout pour les décrocheurs de Creekside High. Il faut apprendre aux jeunes dès qu’ils sont petits l’importance des études. En effet, ces adolescents ont déjà leur mentalité et leurs traits de personnalité. Ce sont des jeunes adultes et ils sont déjà forgés. Par contre, c’est possible que l’expérience du côté des enfants qui seront payés pour lire marchera, mais encore une fois j’en doute. De plus, si on apprend que cette initiative était bel et bien un succès, je crains les motivations que les jeunes auront quand ils prendront un livre. Peut-être que certains apprendront à apprécier la littérature, c’est fort possible, mais je pense que d’autres conserveront leurs vieilles habitudes lorsqu’il n’y aurait plus de récompense. Bref, pour obtenir des meilleurs résultats, il faut donner plus d’encadrement comme l’a si bien dit Caroline, mais cela est impossible d’assurer un avenir à tous les jeunes, certains vivent dans des situations non propices à l’acquisition des connaissances.
C'est très étonnant de réaliser que beaucoup d'étudiants sont démotivés. Tellement que dans certains pays, on doit les payer pour qu'ils performent dans leurs études. Je suis totalement en désaccord avec cette solution, car ça vient bouleverser le principe de l'éducation.
D'après moi, ce n'est pas à l'école de motiver ses étudiants, c'est plutôt la responsabilité des parents. Ça devrait être leur rôle de les récompenser pour les bons résultats. Les parents devraient avoir leur propre moyen d'inciter leur jeune à étudier, donc s'ils ont l'argent et bien qu'ils les payent eux-mêmes pour qu'ils étudient. Cependant, je pense que la meilleure solution est dès leur jeunesse de leur faire apprendre à aimer l'école en leur disant les points positifs. Ils devraient aussi leur apprendre lorsqu'ils sont très jeunes à se débrouiller par eux-mêmes puisque s'ils sont indépendants, ils auront davantage la motivation. Par exemple, mes parents m'ont toujours dit que les études sont très importantes et qu'ils vont tout faire pour m'aider à aller loin dans mes études. Ils n'ont pas eu besoin de me payer. Ils m'ont seulement toujours appuyée tout au long de mon apprentissage. Bien sûr, ils m'ont récompensée en m'offrant des cadeaux, mais uniquement parce que je le méritais et que j'avais travaillé fort.
Finalement, si les parents font leur part dans l'éducation de leurs enfants, on retrouverait probablement moins de jeunes démotivés. Pourquoi, avant, nous n'utilisions pas l'argent comme source de motivation? C'est parce que l'argent n'est pas la solution, c'est seulement un moyen que nous avons développé pour fuir nos responsabilités.
Recevoir une récompense est un bon motif, mais ou est la motivation interne, le fait que l’on veut s’améliorer et être le meilleur, donc je suis en désaccord avec l’auteur, car si l’on commençait a faire cela partout, nous arriverons à un point ou nous ne voulons plus travailler sans avoir de récompense, mais dans la vie la meilleur récompense c’est la satisfaction de soit.
Je ne suis pas en accord avec l’idée de payer les mauvais élèves pour qu’il reste intéresser a leurs études. D’après moi l’auteur résume bien ce qu’une récompense monétaire peut engendrer cher un élève, “une récompense monétaire finit par s'éteindre aussi rapidement qu'elle est apparue’’. Se serait également admettre que l’école ne peut être suffisamment intéressante pour garder les élèves motiver a celle-ci. Par contre tout n’est pas mauvais dans cette solution, puisque cette idée commence par une hausse d’argent dans le système scolaire. A mon avis elle tout simplement pas investit au bon endroit.
Au lieu de financer les mauvais élèves le gouvernement devrait utiliser cette argent investit pour crée des programmes qui sauraient motiver les élèves et les aider durant leur cheminement scolaire. Par exemple des programmes de sports, de l’aide au élèves qui aiderait les élèves qui a la maison non pas un bon environnement ou encore des programmes parascolaires. En plus de les motiver, il n’y aura pas uniquement les élèves en difficultés qui en profiteraient puisque ces programmes serait ouvert a tous. Ils permettraient également de motiver d’avantage et de basé cette motivation sur quelque chose de plus saint.
Tout d’abord, je suis totalement en accord avec les propos de Rénée Laurin dans cet article. Puisque c’est vrai qu’a l’école lorsque les élèves non pas de bonne note ou simplement qu’il dorme en classe c’est qu’ils ne voient pas l’importance que les connaissances enseigner va leur apporter. Et en ce qui a trait au fait de payer les élèves lorsqu’ils participent à des séances de soutien scolaire, je crois que cela est vraiment absurde. Puisque se serait normal que les élèves qui on de la difficulté doivent aller a des cours de tel sort cependant le fait de les payer et 8$ de l’heure ne fait que leur donner envie de rester dans c’est cours, mais vont-ils vraiment travail et augmenter leur résultat? La réponse est évidente selon moi, non puisqu’il n’aura plus accès à ces cours, donc plus d’argent amassé. Pour moi il devrait être tout simplement normal que les élèves en difficulté aillent à des cours particuliers sans être payés. À la place je crois que l’ont devrait rendre les cours tout simplement plus intéressants. En leur démontrant l’importance d’étudier sérieusement à l’école. Malgré tout, je crois qu’il est évident que certains ne seront toujours pas intéressés. Mais alors, il suffirait de mettre un cours ou une option qui les intéresse. Par exemple, un sport, comme dans les programmes sport étude, ou concentration. Le fait de pratiquer un sport ou quelque chose qui t’intéresse te pousse à te rendre à l’école. C’est une motivation de te dire qu’il ne reste que 2 cours avant d’aller jouer au soccer par exemple.
La solution que les écoles espagnoles et américaines ont trouvée afin de motiver leurs élèves à la lecture peut sembler farfelue pour certains, matérialistes pour d’autres. Personnellement, je suis partagé sur la question.
Bien sur cette méthode a des bons cotés. Il est évident qu’en recevant une récompense monétaire, les élèves seront plus motivés à lire. Lire enrichit le vocabulaire et la culture, peu importe si on lit pour le plaisir ou dans l’optique d’être récompensé. Si c’est le seul moyen que ces écoles ont trouvés afin d’inciter leurs élèves à la lecture, alors pourquoi pas. Aussi, certains élèves, qui au début ne s’intéressaient pas à la lecture mais plutôt à l’argent, pourront peut-être développer un goût pour celle-ci a force de lire.
Mais justement, le but de l’exercice à long terme est d’intéresser les jeunes à la lecture. Le fait d’être payé pour lire peut être motivant, certes, mais aussitôt que les récompenses cesseront, par exemple lorsque les élèves gradueront, ces même jeunes qui semblaient si intéressés par la lecture le seront-ils toujours? Une grande majorité risque de ne plus s’accorder le temps de lire si cela ne leur rapporte rien. Ainsi, la méthode mise de l’avant par ces deux écoles sera peut-être un échec lamentable.
Je répète donc que je ne suis ni d’accord ni en désaccord avec cette méthode. Le temps nous dira si c’était une bonne idée.
Je ne suis pas plus d’un bord que de l’autre. Je trouve juste cette situation quand même drôle, un directeur paye ses élèves pour obtenir un B en maths et en science, c’est un peu désespérer comme solution. Par contre si cela fonctionne, et bien tant mieux, ces jeunes auront de meilleures notes et auront obtenue de l’argent de poche.
Je suis aussi d’accord avec l’auteure qui dit que l’humain carbure plus au plaisir qu’à l’argent, si je serais un enfant du village espagnole de Noblejas qui se fait payer un Euro par heure pour lire, sa ne me motive par vraiment, il faudrait que je passe 10 heures dans une bibliothèques pour avoir 10 Euro, non merci je préfère passer mon temps ailleurs.
Il y a toujours le problème de motivation avec les études, surtout quand ce qu’on apprend n’a pas de but ou d’importance à nos yeux. Chaque jeune s’est posé cette question au moins une fois : ‘’ça va me servir à quoi dans la vie?’’.
Mais on n’a pas vraiment le choix, si une personne veut bien réussir, avoir un bon travaille, un bon salaire et qui ne veut pas se retrouver dans la rue, même si on n’est pas motivée il faut se donner un coup de pied dans le derrière.
Personnellement, je trouve tout à fait aberrant de payer des élèves afin qu’ils participent à des mesures de soutient scolaire ou qu’ils fournissent des efforts assidus à l’école. De plus, les primes de rendement offertes aux élèves plus performants sont une vraie farce. En effet, je crois sincèrement que la motivation basée uniquement sur une récompense monétaire finit par s’estomper très rapidement.
Je crois que les dirigeants des écoles auraient tout intérêt à travailler sur les moyens de motiver les étudiants en rendant les apprentissages plus significatifs pour ceux-ci. Il s’agit de d’adopter une pédagogie orientante en faisant découvrir la diversité des métiers aux élèves. De cette façon, l’élève peut mieux comprendre la nécessité, pour lui, d’obtenir de bons résultats.
Je crois également que le ministère de l’éducation a fait un pas en ce qui concerne la motivation des élèves pour la lecture. La ministre Courchesne exige qu’un 15 minutes par jour soit réservé à de la lecture autre que celle faite dans le cadre scolaire. Ceci a pour effet de motiver les élèves, puisqu’ils peuvent lire ce qui leur plaît et non ce qu’ils se font imposer.
Finalement, le soutient parental est un élément essentiel dans la réussite scolaire des élèves. Trop souvent, les parents abandonnent très tôt leur rôle au niveau du suivi académique de leurs enfants. Comme le dit Rénée Laurin, si les parents sont démotivés à ce niveau il ne faut pas s’étonner des répercussions sur la motivation des enfants. Quand l’éducation est une priorité familiale, la motivation des enfants est moins déficiente.
Je trouve tout à fait inaproprié de payer les étudiants qui ont des mauvais résultats scolaire.Quel exemple donnons-nous aux jeunes de notre société?Ne fait pas d'effort et tu seras récompenser?Je trouve ridicule donner de l'argent à un élève qui ne veut pas construire son propre avenir.Les élèves doivent prendre conscience de leurs actes.Si nous voulons que les mauvais étudiant prennent conscience de l'importance de leurs étdudes,devrions émettre des conséquences au lieu de les récompenser.Pour ma part je trouve intéressant de donner des récompenses,mais cela doit s'appliquer aux élèves exemplaires,par contre je reste rétissant au faite qu'on verse une certaine somme d'argent.
Sommes-nous réellement descendues aussi bas... ? Offrir de l'argent aux jeunes élèves pour qu'ils aient une motivation pour lire ou tout simplement aller à l'école ? Selon moi, aller à l'école est une motivation pour réaliser tes rêves futures, tous les beaux objectifs que tu t'es fixé et les atteindre un jour ! Mais il faut travailler pour pouvoir y arriver, il faut expliquer au jeunes d'aujourd'hui qu'on ne fait rien pour rien, que leur avenir est en jeu et entre leurs mains.
Est-ce qu'en leur donnant de l'argent, on ne fait que leur prouver que l'argent fait le bonheur et qu'elle mène le monde? On essaie d'inculquer aux enfants que dans la vie il faut persévérer et ne pas lâcher, mais sans avoir nécessairement quelque chose en retour , mis à part leur SATISFACTION d'avoir accomplie quelque chose de bien et que plus tard cela va qu'être positif.
Je ne vous dit pas que ce n'est pas "bien" de donner quelque chose en retour aux étudiants. Mais sommes-nous obliger de leurs donner de l'argent et de développer leur côté matérialiste, on peut très bien leur offrir des activitées récompenses, comme par exemple des sorties de groupes , des activitées spéciales pour les élèves qui ont le plus persévérer durant la semaine. Cela amènerait un " challlenge " de plus aux élèves et les motiveraient à se surpasser pour gagner cette fameuse activitée.
En d'autre mot, l'argent ne fait pas le monde ! Il travailler pour atteindre ses buts.
Selon moi, pour qu'un élève ait des bonnes notes, il doit trouver une motivation assez grande. Oui à court terme payer les jeunes peut être une source de motivation, mais à long terme ça ne peut que le nuire. Après le secondaire ou lorsqu'ils quitteront cette école, ils ne seront plus payer donc plus de motivation. Je crois que dès le début du secondaire, les jeunes devraient choisir où ils veulent aller plus tard pour ensuite progresser avec cette certaine motivation en tête.
L'encadrement des parents sur leur jeune permet d'éviter ces problèmes de manque de motivation. Les parents qui suivent leur jeune dans leur progression et qui réussissent à leur faire maintenir des assez bonnes moyennes va permettre aux jeunes d'avoir un minimum de motivation à l'école. Très souvent, les jeuens sont démotivés, car ils n'ont pas de bonnes notes, alors si on réussit à leur faire développer des bonnes habitudes dès leur jeune âge ça peut juste les avantager. Payer les jeunes n'est vraiment pas une bonne façon de motiver les élèves surtout que se soit fait par l'école.
Au départ, ce sont les parents qui doivent motiver les jeunes et les jeunes devraient tous aller à l'école pour une raison particulière. On devrait créer des cours spéciaux selon les ambitions des jeunes, un peu comme le cégep. Ça permettrait aux jeunes de vraiment apprécier leurs cours et pour éviter qu'ils se disent qu'ils vont à l'école pour aucune raison.
Payer les mauvais élèves? Je trouve cette idée littéralement pathétique. Ça prouve encore à quel point notre société semble aller à la dérive. En sommes-nous vraiment rendus au point de devoir payer les mauvais élèves pour les inciter tant bien que mal à continuer leurs études et à s’améliorer, alors que bien des enfants défavorisés, partout dans le monde, donneraient tout pour avoir accès à l’école? Nous avons une chance incroyable d’avoir accès à l’éducation gratuitement et de pouvoir plus tard exercer un bon métier nous permettant de vivre aisément. Il me paraît donc démesuré d’avoir à rémunérer les élèves en plus!
Auparavant, les jeunes étaient heureux de pouvoir aller à l’école et d’apprendre. Pourquoi la situation est-elle si différente maintenant? Probablement, encore une fois, parce que tous les établissements se voient obligés, aujourd’hui, de jouer un rôle que les parents assument de moins en moins. De nos jours, les deux parents travaillent pour pouvoir offrir tout ce qui est matériel aux enfants, mais doivent malheureusement de plus en plus laisser ceux-ci à eux-mêmes, ce qui fait qu’ils sont mal encadrés. Par exemple, je crois que la meilleure façon de faire aimer la lecture à ton enfant est de lui lire des livres dès son plus jeune âge et de rendre cette activité amusante et captivante. Ce n’est pas en le payant! Cette responsabilité revient aux parents et ne peut pas être prise en charge par les établissements scolaires. Tout comme le fait, selon moi, de faire comprendre l’importance des études aux jeunes.
Ainsi, je doute que le fait de payer les mauvais élèves puisse réellement aider. En plus, croyez-vous vraiment que ce système ne sera pas exploité? Les étudiants pourraient volontairement diminuer leurs résultats scolaires pour pouvoir être rémunérés. C’est comme lorsqu’on parle de rémunérer les éventuels décrocheurs pour les motiver à rester à l’école. N’importe qui, dans cette situation, peut alors manifester des intentions de décrochage uniquement pour recevoir l’argent. Ce n’est donc pas une situation favorable.
Enfin, je trouve cela illogique de payer les moins bons, car ça engendre un nivellement vers le bas en plus d’une grande injustice envers ceux qui travaillent fort pour leurs bons résultats, qui sont motivés même face à certaines difficultés, mais qui ne reçoivent rien. Je crois qu’il serait préférable, si la motivation est véritablement nécessaire, d’encourager les jeunes en récompensant les bons résultats, mais pas nécessairement avec de l'argent.
Voilà un article très intéréssent. On y parle d'étude et d'argent. Plusieurs jeunes sont oubligés de travailler à temps partiel pour avoir un peu d'argent de poche. Mais voilà que des école paient leurs élèvent pour lire, écrire et avoir des donnes notes. C'est un incitatif qui pourait fonctionner mais où est réellement le problème? Nos jeunes ne sont plus motivés à aller dans leurs cours pourquoi? Selon moi, je crois que le problème c'est que certains ont perdu la passion de ce qu'ils enseignent. On est n'est plus avec un professeur d'histoire pour le cours d'histoire. Non, c'est un professeur d'éducation-physique qui n'avait rien à faire donc qui se retrouve a «enseigner» l'histoire. Dans le texte, l'auteur mentionne «les humains fonctionnent au plaisir et a l'argent.» allors pourquoi que à place de payer des élèves pour qu,ils fassent ce que des étudiants devraient normalement faire, pourquoi ne pas payer de bons professeurs qui aime leur matière et qui sont dynamique pour motiver les jeunes à aller dans leur cours et bien travailler?
Je suis parfaitement en accord avec l'auteur, il n'y a pas d'enfant paresseux, seulement des enfants démotivés. En effets je crois que les institutions qui on choisit de payer leurs étudiants pour qu'ils ''aiment'' l'école, devraient plutôt payer les enseignants plus chers et donner plus de ressources auxétablosements scolaires afin de faire aimer l'école aux enfants démotivés.
Personnellement je trouve que le moyen utilisé par l’école secondaire Creekside High, de Fairbum est une excellente idée. Pensez-y un instant... Fairbum n’est pas un coin très riche des États-Unis. Plusieurs enfants arrêtent d’aller à l’école car ils doivent travailler pour aider leur parent et subvenir aux besoins de leur famille. Donc, les enfants n’auront plus besoin de trouver du travail pour aider leurs parents mais n’auront qu’à aller à l’école pour se faire de l’argent. De plus une fois leurs études terminés, les étudiants auront la chance de gagner beaucoup plus d’argent grâce à leurs qualifications développer lord de leurs études.
Prenons maintenant le cas du maire Agustin Jimenez Crespo, qui paye les enfants de son village espagnol 1 euro par heure passé a lire à la bibliothèque. À mon avis le moyen utilisé dans le village Noblejas peut être efficace s’il est approché aux enfants dès un jeune âge. Voici ma raison : pour un jeune enfant un euro est une belle récompense. À force de lire les jeunes vont développer un plaisir à lire, car plus nous lisons souvent plus nous prenons goût à lire. Ce qui veut dire que les enfants, en grandissant, vont lire pour le plaisir sans se soucier d’avoir une paye pour le faire.
Je partage l’opinion de l’auteur du texte ‘’Les enfants paresseux n’existe pas’’. Pour connaître trop de jeunes qui ont décroché, je sais que les principales raisons qui les ont poussées à lâcher sont souvent l’ennui, les situations familiales complexes ou l’absence de satisfaction personnelle. Cependant, l’auteur qui a critiqué le directeur et le maire a oublié de parler des principales responsables de cette démotivation scolaire : les parents. Je sais que c’est beaucoup leur mettre sur leur dos déjà rempli, mais n’empêche qu’ils ont un poids important dans cette balance. Car l’influence de l’éducation familiale a beaucoup d’importance dans la persévérance scolaire. Je crois donc que le maire du village espagnol aurait donc dû taxer les parents des mauvais lecteurs XD . Plaisanterie mis à part, je crois que l’impact des parents devrai être reconsidérer ce n’est pas qu’à l’école de faire aimer la lecture.
Selon moi, la motivation basée uniquement sur la récompense monétaire est une méthode complètement désespérée qui ne se base que sur des valeurs capitalistes. Récompenser monétairement une personne est une motivation externe. Et l’inconvénient de ce type de motivation c’est qu’elle ne développe pas chez l’individu les comportements souhaités à long terme. À mon avis, il vaudrait beaucoup mieux développer des motivations personnelles chez les jeunes si l’on veut qu’ils perdurent à travailler toute leur vie.
Je suis tout à fait en désaccord avec le fait de payer de jeunes étudiants pour des courts supplémentaires ou tout simplement pour les initier à la lecture parce que à mon avis cela peut être bénéfique à court terme puisque les jeunes étudiants seront motivés mais à la longue, je crois qu’ils ne penseront juste à la récompense au bout du travail qu’ils accompliront tout croche due au fait qu’ils n’y prennent aucun plaisir. De plus, je trouve cela complètement immoral de payer des enfants pour leurs études. Selon moi, ce sont les parents qui devraient s’occuper de motiver les enfants dans leurs études et non à un système qui donne des récompenses monétaires! Pour finir, je suis entièrement d’accord avec le fait qu’il n’existe pas d’enfants paresseux mais que des enfants démotivés entourés d’adultes tout aussi démotivés qui ont renoncé à trouver la véritable source du problème de démotivation auquel ils sont confrontés parce que je crois qu’un enfant va faire quelque chose dont il a la motivation et non le contraire!
Pour tout vous dire, je n’ai pu me retenir de rire en lisant l’article. Payer les élèves pour les inciter à étudier… franchement! Aux dernières nouvelles, l’école sert d’abord et avant tout à se préparer à avoir un emploie pour gagner sa vie dans le futur. C’est complètement absurde que de payer les élèves qui on comme parents des inconscients et qui laissent leurs enfants dans la décadence de l’échec académique.
Tout d’abord, tout étudiant devrait être amplement motivé d’aller à l’école par le simple fait que c’est le seul moyen d’obtenir un emploi descend qui nous permettrait de nous faire vivre nous et notre éventuelle famille. Notre niveau d’effort à l’école, donc notre rendement scolaire, est en lien directe avec la qualité de l’emploi et du salaire de ce-dernier que chacun occupera dans l’avenir c’est pourquoi je considère que de payer les élèves en plus est simplement un moyen de plus pour nous rendre servile envers l’argent et le matériel.
Ensuite, si certains élèves sont démotivé et se lève chaque matin en se demandant pourquoi est-ce qu’ils doivent utiliser leurs potentielles heures de sommeil à se rendre à l’école où ils considèrent qu’il ne font que perdre leur temps, c’est parce que leurs parent n’ont su leur faire comprendre ou leur démontrer à quelle point l’éducation est essentielle. Certains parce qu’eux même ne l’ont pas encore réalisé et d’autre parce qu’ils sont trop occupés à travailler pour instruire leurs progénitures.
Finalement, payer ces malchanceux ne fait que leur causer du tort. Puisqu’ils vont s’habituer à attendre une rémunération immédiate à leurs efforts alors que, dans l’avenir, ces efforts seront déjà récompensés.
De nos jours, il est vrai que les enfants démontrent un grand manque de motivation sur le plan scolaire. Comme nous pouvons le lire dans l’article Les enfants paresseux n’existent pas, certains pays ont eu l’idée d’inciter les jeunes à la lecture en utilisant la rémunération. C’est-à-dire que les élèves, en échange de bons résultats et d’un certain nombre de temps alloué à la lecture ou autres travaux.
Certaines personnes pensent que l’utilisation de l’argent ne devrait pas être employée à ces fins. Selon moi, la volonté est importante, mais quelques fois il faut aussi trouver des moyens pour déclencher cette volonté dans une quelconque matière. Quand on est jeune, l’argent nous permet de nous procurer certains biens que nos parents ne nous offriraient pas. Au bout du fil, la récompense ne serait pas que monétaire, mais aussi de nous faire découvrir la lecture ou tout autre matière.
Même si plusieurs personnes peuvent avoir à l’idée que l’argent peut rendre les enfants matérialistes, cela ne pourrait-il pas au contraire leur faire apprécier ou découvrir de nouvelles choses?
Je suis totalement en désaccord avec l'idée de payer les élèves afin qu'ils aillent à l'école ou afin de les motiver à avoir des meilleurs notes. Je n'en reviens toujours pas, si nous remontons dans l'histoire nos ancêtres se sont battus afin que l'école devienne un droit et non un devoir. Par la suite, nous proposons de donner de l'argent aux élèves qui ont l'opportunité d'apprendre mais qui préfèrent se "pogner le derrière".
D'après moi, la réussite à l'école comporte au moin deux élèments: développer ses capacités intellectuelles et nourrir sa discipline personnel et l'estime de soi. En payant les élèves, on peu peut être atteindre le premier objectif à court terme mais le deuxieme, qui me semble plus important à la société, sera contourné. Est-ce que je veux vivre dans une société ou le moindre défis est motivé par l'argent? Est ce que les défis devraient être ajustés à l'inflation? Est-ce que l'on devrait payer moin ceux qui réussisse? Est-ce que la matière devrait influencer le taux? Toutes ces questions l'une plus rédicule que l'autre démontre bien l'absurdidé d'une telle démarche.
S'il y a beaucoup d'echec à l'école, c'est peut être plus au niveau du système d'éducation qu'il faudrait investir. Comme par exemple, réduire le nombre d'élèves par classe, augmenter le nombre d'heures de services d'orthopédague et améliorer la qualité ou la forme de l'éducation.
Comme dans une entreprise si on déresponsabilise les employés en leurs donnant des objectifs stritement financier, les employés comme les étudiants vont vite atteindre la limite de la motivation qui en découle. C'est possible de voir des résultats positifs à très court terme, mais il est claire que prendre un pas dans cette direction va créer des problèmes beaucoup plus importants au niveau de la réussite et la responsabilité sociale à moyen et long terme. Je catégoriserais cela comme un accommodement déraisonnable.
Selon moi, payer les étudiants d'aujourd'hui pour aller à l'école c'est rentré dans la tête de nos jeunes que l'argent c'est ce qui nous motive. Pour motiver les jeunes, je crois plutôt que ces écoles devraient investir dans les activités parascolaires, car il ne faut pas se le cacher, un élève qui s'implique dans l'école, découvre le plaisir de se rendre dans son institution. De plus, cette pratique est base sur un très mauvais fondement, puisque cela se fera voir dans leur façon d’agir dans le futur. Ils choisiront un travail pour l’argent et non pas selon leur vrai intérêt. Les jeunes ont besoin de trouver une autre motivation que l'argent pour apprendre, prenons par exemple un jeune qui a beaucoup d'énergie et qu'il a de la misère a ce concentrer en classe, celui-ci aurait plus besoin d'activité physique dans son école pour pouvoir dépenser son énergie et être capable de se concentrer en classe au lieu d'avoir des récupérations payer. Pour conclure, les jeunes d’aujourd’hui sont-ils rendus paresseux et démotivés à un tel point que seulement l’argent les motive à se rendre à leurs récupérations et à lire?
Je suis complètement en désaccord avec ce qui dit l’auteur, lorsqu’il explique qu’a long terme, les jeunes se démotivent même avec une récompense monétaire. Moi, un jeune capitaliste, est quelqu’un qui peut facilement être motivé avec des moyens monétaires, car cela me donnerait un goût de l’avenir (la vie dans le marché du travail). De plus, les jeunes venant de familles défavorisées pourraient en même temps recevoir une éducation et une source de revenus pour leur famille. Ces jeunes pourraient recevoir une éducation pour enfin sortir leurs familles de la misère. De plus, cela enlèverait immédiatement la lenteur de la volonté pour les élèves, même si cela ne durerait pas pour l’éternité et même avec une grande somme d’argent dispersé entre les élèves, il y aurait une certaine motivation dans la communauté des jeunes. À mon avis, des élèves paresseux existe, mais cela ne veut pas dire qu’ils ne sont pas capable de redevenir des jeunes avec de l’énergie.
À mon avis, payer les élèves pour qu’ils performent dans leurs études est une très mauvaise façon d’augmenter la motivation de ceux-ci. Depuis la jeunesse, en basant toute récompense donner aux jeunes sur l’argent, les élèves pourront devenir rapidement obsédé par l’argent et au moment qu’ils deviennent bon à l’école, si cela fonctionne, et que l’argent n’est plus attribuable à eux, ils seront démotivés et ne trouverons peut-être plus d’avantage à continuer leur éducation, par exemple aller à l’Université. Être payé par heure de lecture? C’est ridicule! À cet âge les jeunes n’ont même pas le droit de travailler et d’avoir un salaire! Mais dans ce cas, ils ont une sorte de salaire pour faire ce que tout être humain devrait avoir la possibilité de faire : apprendre. L’élève peut rester assis, à rien faire, jusqu'à ce que l’heure finisse pour avoir sa somme d’argent. Il pensera donc seulement à l’argent et non à son propre futur. Il y a surement des élèves qui feront par exprès de rater des cours, pour les reprendre et être payés. Ils vont seulement ce forcé à la suite et obtiendront l’argent comme ils le désirent. Pensez à tous ces gens avec des problèmes financiers, les parents pourront obliger ou même influencer leurs enfants à couler une matière pour ensuite pouvoir se reprendre et avoir une somme d’argent, tout cela pour le bien de la famille. Pourquoi ne pas aider les familles démunis en leurs donnant une somme direct, à la place de le faire à travers les problèmes a l’école, car c’est très réaliste de croire que le cas que j’ai mentionné arrive. On peut aussi introduire des récompenses pour ceux qui s’améliorent, mais des récompenses qui ne sont pas monétaire, mais plutôt comme une activité, et une récompenses plus grosses pour ceux qui ont eu des bonnes notes des le début.
L’argent n’est pas la clé de la réussite, car elle n’amène pas le bonheur. C’est seulement en faisant quelque chose que l’on n’aime qu’on devient heureux. Si le gouvernement paye les élèves pour lire par exemple, et que les élèves n’aiment pas lire, mais ce forcent à le faire juste pour l’argent, ils deviendront probablement avares, en voyant l’argent comme le seul objectif à la vie, tandis que ce n’est pas le cas, il faut d’abord trouver le bonheur, la passion en soi.
Je crois que donner une autre source de motivation, autre que le fait que travailler fort à l'école va te permettre d'obtenir un bon emplois plus tard, est une très bonne idée car plusieurs jeunes ne pensent pas réelements au futur et ne voit pas l'intérêt de passer leurs soirées à étudier pour se faire récompenser dans plusieurs années. Une motivation plus directe et ajusté au niveau d'éffort que l'élève donne serait donc une bonne idée pour les élèves qui sont démotivés car cela pourrait les forcés à poursuivre leurs études ce qui est très bon pour la société toute entière.
Je crois qu'il est tout à fait vrai qu'une motivation à long terme sur le plan scolaire ne peut être engendrée par l'appât du gain chez le jeune et une raison pouvant l'expliquer serait qu'il ne connait pas encore la valeur de l'argent. Un fait qui démontrerait bien que le désir menant à l'atteinte d'un but quelconque ne peut être basée sur une récompense monétaire serait de prendre par exemple les athlètes professionnels ou plus précisément les joueurs de hockey qui, malgré leur salaire faramineux, peuvent aussi bien être échangés ou congédiés au cours de la saison, le manque de plaisir ou d'intérêt pour l'équipe étant souvent la cause. Alors voilà donc un autre méfait de notre société capitaliste qui en revient toujours à l'argent comme principal recours.
Selon moi, payer les étudiants pour qu’ils fassent leurs devoirs ou qu’ils participent à des séances de soutien scolaire est une excellente idée qui mérite réflexion. Certains diront que les étudiants pourraient volontairement obtenir de mauvais résultats scolaires pour pouvoir se faire payer. Personnellement, je ne crois pas à cela. Un enfant capable d’avoir de bons résultats est un enfant assez intelligent pour ne pas baisser sa moyenne. Aussi, l’auteur de l’article a dit que payer les mauvais étudiants ne fonctionnerait pas, parce qu’ils n’ont aucun intérêt ou plaisir pour les travaux scolaires. De nos jours il y a beaucoup d’adolescents qui occupent un emploi durant l’année scolaire. La plupart sont payés au salaire minimum qui est de 9$/h pour un emploi comme caissier, emballeur de sacs d’épicerie, secrétaire ou manutentionnaire. Est-ce motivant? Je ne crois pas. Mais les adolescents le font quand même par besoin. Tant qu’à investir toutes ces heures pourquoi ne pas travailler pour s’aider soi-même? Les heures de travail comme caissier ou emballeur pourraient être remplacées par des heures d’étude. Ne serait- ce pas la chose la plus merveilleuse pour un adolescent?
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