Élisa ne voulait plus remettre les pieds à l’école. Tous ses camarades de classe étaient au courant. Il y a même eu des graffitis sur son casier.
L’an dernier, Léa a aussi voulu mourir de honte à cause d’informations qui ont circulé à son sujet sur l’internet. Elle a même décidé de changer de polyvalente en pleine année scolaire. Sous l’effet de l’alcool, la jeune fille de 14 ans s’était photographiée toute nue.
«Elle n’était pas toute là quand elle a pris des photos d’elle, nous a raconté sa copine Annie. Pour la faire chier, une autre fille les a mises sur l’internet. Après, elle n’arrêtait pas de se faire écœurer. Il y a du monde qui la traitait de salope, de vache, qui disait que c’était voulu qu’elle soit toute nue. Elle n’était plus capable. Elle a changé d’école en février.»
Chaque jour, de jeunes Québécois entrent en classe honteux, la tête basse. Selon un sondage effectué l’hiver dernier par l’organisme Jeunesse J’écoute auprès de 2500 jeunes, 70% d’entre eux ont déjà été intimidés sur l’internet, alors que 44% en ont déjà fait subir.
L’an dernier, Shaheen Shariff, chercheuse à la faculté d’éducation de l’Université McGill, a interviewé 500 élèves, répartis dans six écoles du Grand Montréal (voir le tableau). Près de neuf élèves sur 10 connaissaient quelqu’un qui avait souffert énormément d’être cyberintimidés.
La cyberintimidation se fait de plusieurs manières. Des rumeurs peuvent être lancées sur des sites de réseautage comme MySpace, Facebook ou Piczo. Les jeunes se menacent et s’injurient aussi sur les blogues, les chats, sur MSN ou via les textos des cellulaires. Une multitude de cas ont été racontés à La Presse.
Certains cas sont troublants. Comme cette jeune fille qui avait laissé son ami. Ce dernier, frustré, a diffusé des images d’elle se masturbant, filmées avec une webcam. Pourtant, il lui avait promis que ça resterait entre elle et lui…
De l’école à la maison
L’intimidation a toujours existé. Mais aujourd’hui, elle se poursuit après les classes jusque tard en soirée, de la cour d’école à la chambre à coucher. La cyberintimidation est comme l’intimidation traditionnelle. Il y a abus de pouvoir et de contrôle. Mais le mal est plus grand et il se fait beaucoup plus rapidement.
«Sur l’internet, les jeunes peuvent bousiller la vie d’un camarade en quelques secondes et quelques clics, explique l’enseignant albertain Bill Belsey, à qui l’on doit le terme cyberintimidation. Ils peuvent également modifier des photos. Ou prendre des courriels privés et coller le texte dans un autre contexte.»
«L’autre jour, quelqu’un me lançait: Une fausse rumeur sur moi sur l’internet? J’aimerais cent fois mieux avoir un coup dans le ventre», relate l’Américain John Halligan. Depuis le suicide de son fils, l’homme de 44 ans est en croisade. Le Vermontois (dont le témoignage sera publié demain) multiplie les conférences. Il veut que les États américains adoptent des lois qui préviennent la cyberintimidation dans les écoles.
Les méchancetés lancées sur l’internet sont plus virulentes que celles lancées dans la cour d’école. «L’écran de l’ordinateur, cela enlève la retenue qu’une personne a naturellement dans le vrai monde. Quand tu es face à face avec quelqu’un et que tu es méchant, tu as un minimum d’empathie car tu vois la réaction. Pas sur l’internet», explique M. Halligan.
«J’avais peur d’aller à l’école et de me faire encercler», a confié à La Presse Félicia, une élève de secondaire un. Pour une histoire de garçon, elle était brouillée avec une amie. Cette dernière a demandé du renfort à des élèves de secondaire deux. «Je me suis retrouvée au centre d’une conversation à six sur MSN, raconte Félicia. Ils me traitaient de bitch, de conne… C’était difficile, surtout que je venais de changer de ville.»
Les jeunes cyberintimidés souffrent en silence. «Ils ne veulent pas le rapporter aux adultes, indique Bill Belsey. Ils ont peur que leurs parents découvrent leur jardin secret et qu’ils réagissent en leur confisquant l’ordinateur ou le cellulaire. Ils veulent être en ligne en même temps que les autres.»
«Quand un jeune subit de l’intimidation, c’est plus souvent ses amis qui viennent vers nous. La personne est gênée. Ils ont peur de snitcher (dénoncer) et que ça leur retombe dessus», observe pour sa part François Lassens, technicien en éducation spécialisée à la polyvalente Mrg Richard de Verdun.
Un journal intime public
Si plusieurs adolescents – et adultes – ont un profil sur Facebook, les jeunes de 12 ou 13 ans – en majorité des filles – fréquentent beaucoup les sites de réseautage Piczo.com et Doyoulookgood.com
La Presse a passé des heures à consulter des profils d’élèves québécois. Très souvent, les pages regorgent de renseignements personnels. Des filles de 12 ans mettent en ligne des photos où elles posent avec un air sexy. D’autres jeunes y parlent de leurs états d’âme à livre ouvert. Mais Piczo n’est pas un journal intime. C’est un site dont les informations sont publiques.
Sur son profil, Andréanne*, par exemple, ne se gêne pas pour afficher son célibat. Sa date de naissance est bien en vue, tout comme son adresse de courriel personnelle.
Elle a intitulé une section de son site «La Conne», dédiée à une élève qu’elle n’aime pas. Un clic plus loin, il y a la photo et le nom de ladite «conne». En gros caractères, on peut lire: «Elle gosse tout le monde, elle veut se penser bonne et ça ne marche pas. C’est une grosse tabarnack.» (Le texte original se lisait comme suit: «a gosse tout le monde a veux se penser bonne et la sa marche po alors a fait des niaiseries (…) stune grosse ******** de tabarnack.»)
Une réalité quotidienne
Pour certains jeunes, les menaces ou les méchancetés lancées sur l’internet font partie du quotidien. Dans l’autobus 193, trois élèves du deuxième secondaire de l’école Père-Marquette avaient en tête une multitude d’exemples. Pourtant, elles en parlaient d’un ton désinvolte.
«L’autre jour, deux filles se sont battues. L’une avait traité l’autre de King Kong sur Piczo», raconte Tifanny, entre deux éclats de rire. «La fille est petite, trapue et elle a un gros nez», précise-t-elle. Les trois copines en avaient beaucoup à dire sur une dénommée Nikita. L’an dernier, Nikita a créé une «page de potins» sur Piczo. Les gens étaient invités à écrire des rumeurs sur les élèves. Caroline n’a pas apprécié. «Ça disait que j’avais baisé et sucé Jérôme.»
En secondaire un, Caroline et Nikita se chicanaient souvent. À plusieurs reprises, les meilleures amies sont devenues des ennemies et vice versa. À un moment donné, les deux filles avaient le béguin sur leur même gars. Nikita avait le mot de passe de Caroline. Elle a changé sa photo pour une autre. De son côté, Caroline a pris un nom anonyme et elle a traité Nikita de «grosse».
Cette situation est typique. «Les jeunes se donnent leur mot de passe en disant: Allez, t’es ma best, explique Bernard Desrochers, directeur des services cliniques de Jeunesse J’écoute Montréal. Quand il y a une chicane, ils prétendent être l’autre. Ils peuvent faire un faux coming out en écrivant: je suis gai ou je suis en amour avec tel gars.»
«Celui qui est intimidé se sent seul, poursuit Bill Belsey. Il ne sait plus qui croire. Il n’a plus confiance en personne. Il faut faire comprendre aux jeunes que ce qu’ils font sur l’internet ne s’efface pas. En premier lieu, cela peut blesser quelqu’un. Mais cela peut aussi nuire à leur propre avenir.»
*Par souci de confidentialité, les noms des jeunes cités sont fictifs.
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Comme on le sait bien, Internet laisse maintenant place à une multitude de sites servant de réseaux de communications où les envois de messages, de photos, de vidéos et de messages instantanés se font de bons cœurs. Prenons le site de Piczo, par exemple, comme l’a mentionné Émilie Côté de La Presse. Il est possible sur ce site de non seulement publier sa vie au grand jour, mais de recevoir les commentaires de n’importe qui dans le monde et de publier n’importe quoi sur n’importe qui. Et pourquoi? Car la protection des informations personnelles est négligée et que ce site ne possède selon moi aucune limite. Mais où cela nous mène-t-il? Cela nous mène tout simplement vers la cyberintimidation. Il est tellement facile de dire des choses à une personne se trouvant derrière un écran, mais les mots utilisés blessent autant sinon plus. Utiliser des réseaux de communications pour intimider quelqu’un ou pour publier des rumeurs fausses, des photos et des vidéos compromettantes brimant la vie personnelle d’une personne est selon moi un acte irrespectueux et impardonnable. Personne ne mérite de se faire traiter de la sorte. C’est alors qu’une personne qui intimide une autre doit se demander si elle-même aimerait vivre cela, car « On ne fait pas aux autres ce que l’on ne voudrait pas se faire faire».
Émilie Côté de La Presse mentionne une jeune fille, Léa, qui aurait changé d’école en raison d’une photo qu’elle aurait prise d’elle nue sous l’effet de l’alcool ayant été publiée sur internet. Cette situation m’amène à parler de l’autre côté de la médaille. Sachant que la sécurité des sites n’est pas toujours assurée, il faut comprendre qu’il est vraiment important d’apporter une attention particulière aux choses que l’on dit et que l’on fait, et ce, dans n’importe quelle situation. Blâmer ses actes sur ‘l’effet de l’alcool’ n’est pas une raison valable. Ce geste a coûté à cette jeune fille sa réputation et son estime de soi.
Finalement, la cyberintimidation dois se terminer quelque part. Il est important selon moi de prendre les mesures et les précautions nécessaires pour essayer de la limiter et d’éviter les problèmes reliés à celle-ci. Pour se faire, la sensibilisation dans les écoles concernant tous les types d’intimidation serait une bonne solution.
Ce sujet est très tabou chez moi, mais aujourd'hui je vais définitivement en parler parce que je trouve que je suis en quelques sortes concerné.
Tout d'abord, je dois avouer que toute les situations citées dans l'article ne me sont pas étrangères. J'ai effectivement déjà intimidé et je me suis aussi fait intimidée. Je n'entrerai pas dans les détails, mais en tant qu' "intimidatrice", je ne suis pas fière de moi. La cyberintimidation n'est vraiment pas une façon de dire ce que l'on pense au sujet de quelqu'un. Si quelqu'un te dérange, fait lui savoir clairement que tu ne l'aimes pas et c'est tout. Ce n'est pas la peine de créer un blog uniquement pour dire et redire ce que tu pense sur cette personne. Tout ça devient ridicule au point que la victime va vouloir se défendre et PAAFF: voilà, la guerre éclate. C'est alors que la victime devient l'intimidatrice numéro deux. Et c'est ainsi que le cercle vicieux commence et continu. Je déteste cette situation! Je trouve que de passer son à "bitcher" sur facebook ou sur un blog est une totale perte de temps. La seule façon de passer à travers l'intimidation, c'est d'ignorer tout propos désobligeants. Plus on écoute ce que les gens disent sur nous, plus on finit par les croire.
Si je pouvait changer ma façon d'agir par rapport à une intimidatrice et en tant que victime, je ferai totalement le contraire de ce que j'ai fait: je n'aurait pas participé à ces conversations remplis de haine.
Je trouve extrêmement triste que d'autres jeunes tombent dans le piège que moi : celui de la cyberintimidation.
Je suis d’accord avec l’article qu’il faut arrêter le cyber-intimidation, car c’est dangereux pour les jeunes étudiants. Premièrement, qu’est-ce que c’est exactement le cyber-intimidation? C’est quand un enfant ou un adolescent est tourmente, menacé, harcelé, humilié ou être ciblé par un autre jeune sur Internet. Ils sont souvent motivés par la colère, la vengeance et la frustration. A certain moment, ils le font pour leur propre plaisir, juste à cause qu’ils s’emmerdent et n’ont rien d’autre à faire que voir les réactions des victimes et rire d’eux.
A propos de l’histoire de Léa, elle a complètement tord .Elle aurait du penser aux conséquences avant de consommer de l’alcool. Et d’après moi, elle est trop jeune pour boire (sans surveillance probablement).Lors de la consommation d’alcool, les sens sont affaiblis, mais pas au point de ne plus se contrôle, et de n’être plus consciente qu’elle est entrain de prendre des photos nues de soi-même. On ne doit pas tout blâmer sur l’alcool.
Pour prévenir, on doit éduquer nos enfants les conséquences et leurs apprendre c’est quoi le respect des autres et de soi. Je propose aussi au parent d’éviter que leur jeune fréquente des sites de réseaux comme facebook, piczo et Doyoulookgood.
Comme les élèves précédents, je crois vraiment qu'il est temps d'agir. La situation ne cesse de dégénérer ! La cyberintimidation est de plus en plus fréquente et c'est normal puisque généralement il n'y a aucune conséquence.
Selon le code criminel du Canada, ''communiquer de façon répétée avec quelqu’un de manière à lui faire craindre pour sa sécurité ou celle de ses proches est un acte criminel.
Il est également criminel de publier un libelle, qui insulte quelqu’un ou peut nuire à sa réputation en l’exposant à la haine, au mépris ou au ridicule. ''Voici un extrait de notre code criminel! C'est bien beau tout cela. Oui le Canada considère cet acte comme criminel , mais avez-vous déjà entendu parlez de quelqu'un qui avait été punit par la loi parce qu'il avait fait de la cyberintimidation ? Moi , jamais ! C'est bien amusant de créer des lois mais il faut s'assurer qu'elles soient respectées.
Je suis d'accord avec David sur le fait que parfois les gens ne pensent pas avant d'agir et après ils se plaignent de leur sort. Selon moi , Léa ainsi que la jeune fille qui s'est masturbée devant sa webcam sont un peu responsable de ce qui leur arrive. Dans le monde où nous vivons aujourd'hui il me semble qu'il est clair que tu ne doit jamais prendre des photos de toi nues ou faire des ''choses'' devant la webcam. Si c'est deux jeunes filles n'auraient pas posées ses actes, elles n'auraient JAMAIS été victimes de cyberintimidation. Combien de fois nous as-t'on répété de ne pas faire ce genre de chose ? À l'école, à la maison ,tout le monde nous rappel que prendre des vidéos ou des photos compromettants risque de nous retomber dessus un jour où l'autre.
Finalement, je suis d'accord avec M. Halligan. Il y a beaucoup plus d'intimidation qui se fait sur internet qu'à l'école. En effet, internet est un bon moyen pour les lâches de dirent se qu'ils pensent. En plus, internet vous offre la possibilité de rester anonyme. Insulter sans se faire ''pogner''? Quoi de plus interessant pour un jeunes gêner qui ne s'assume pas ?
À mon avis, il est temps que les adolescents commencent à prendre leur courage et si ils ont quelque chose à dire alors qu'il le disent en face et qu'ils assument les conséquences de leurs actes. La cyberintimidation doit cesser au plus vite. C'est une urgence !
L’internet, quel outil formidable dont nous disposons aujourd’hui! En effet, nous pouvons nous y référer pour trouver une foule d’informations. Cependant, cet outil indispensable est aussi un couteau à double tranchant. Il peut apporter une série de conséquences très négatives dans notre vie. Comme le rapporte l’article, un grand nombre d’adolescents ont recours à la cyberintimidation. Selon moi, il serait grand temps de mettre un terme à ce problème car comme l’a dit Emmanuelle, il s’agit d’un acte criminel. Toute atteinte à la réputation ou à l’intégrité d’une personne constitue une faute grave. L’adolescence est un âge difficile qui amène parfois les jeunes à agir avec une très grande méchanceté. Ces adolescents ne sont pas toujours immédiatement conscients de la portée de leurs gestes. Comme le mentionne Shaheen Shariff, chercheuse à l’Université Mc Gill, une grande majorité des jeunes sont conscients de ce problème. Malgré tout, ils continuent de visiter ces sites et ainsi encouragent ce fléau. D’autre part, je crois que toute personne devrait sélectionner les informations personnelles qu’ils choisissent de divulguer sur internet. La cyberintimidation est une des plus graves problèmes des adolescents d’aujourd’hui. Ce problème vient frapper même dans la sécurité du foyer familial. Enfin, ne croyez-vous pas qu’il serait temps qu’ensemble nous disions NON à la cyberintimidation.
Comme Émilie Côté le mentionne, la cyberintimidation est très présente chez les jeunes, mais également chez les adultes. Selon moi, nous devons trouver au plus vite le moyen de stopper ceci, car cela peut affecté grandement la victime au point de vue psychologique. L'intimidation ou cyberintimidation, avec ce que nous disons ou faisons, peut affecter et amener une personne à penser qu'il ne mérite pas de vivre et de se sucider. Je crois que chaque personne avant de commetre un geste devrait y penser 2 fois avant de le faire. Pourquoi les jeunes s'amusent tant à intimider une personne ? Pourquoi les jeunes ne tentent pas de règler leurs problèmes entre eux sans avoir recours à internet en inventant des trucs dans le but de rabaisser quelqu'un ? Dans mon cas, je ne vois pas le but des jeunes de rabaisser quelqu'un par ordinateur. En conclusion, je crois que nous devrions trouver au plus vite une solution à ce problème, car cela, d'aucune façon, ne peut continuer !
Aujourd'hui, notre communication se fait majoritairement par le cyberespace puisqu'il est tellement facile maintenant d'avoir recours à internet. Nous pouvons y accéder à plusieurs endroits comme à une bibliothèque, mais, à présent, la plus part du monde a au moins une ordinateur avec internet à leur disposition à la maison. Encore plus simple que ça, vous pouvez désormais aller sur internet avec votre téléphone cellulaire et même avec votre Ipod touch. Quoi de plus formidable que ça! Mis à part des conséquences qui en suivent dont une en particulier qui est bien sur la cyberintimidation qui touche beaucoup d'adolescents. Il faut admettre que ce n'est pas étonnant que ça se soit développé.
Avec tous les informations personnelles que les jeunes mettre sur les sites comme Facebook, il est facile pour quelqu'un d'aller critiquer ou intimider. De plus, internet est aujourd'hui une bonne source pour se venger de quelqu'un, étant donné qu'il est facile de publier une photo ou un vidéo compromettant d'une personne en restant anonyme. Tout le monde peut avoir accès à internet, donc n'importe qui peut ruiner une réputation en quelques secondes. Émilie Côté l'a tellement bien dit dans son titre «Bousiller une vie en quelques clics».
Si je peux dire mon opinion des choses, la personne qui intimide soit par internet ou en personne, c'est elle le réel problème. Pourquoi vouloir blesser quelqu'un si elle n'a pas un problème elle-même? Ce que je peux conseiller pour éviter d'être victime d'intimidation est de ne pas mettre trop de renseignements personnels sur le web. Sur de nombreux sites de profil, vous pouvez refuser que n'importe qui regarde votre page et permettre seulement à vos amis l'accès, toutefois il ne faut pas accepter n'importe qui.
Finalement, je suis d'accord qu'on devrait mettre fin à la cyberintimidation et pour cela il faudrait, selon moi, qu'on en parle dans les écoles, mais aussi qu'internet soit plus surveillé.
Comme le mentionne le texte d’Émilie Côté, les nouvelles technologies favorisent l’intimidation. Que ce soit par internet ou par message texte, les attaques personnelles se font de plus en plus présentes, particulièrement chez les adolescents, et peuvent parfois ruiner des vies ou même pire, causer le suicide d’un jeune.
En effet, selon une étude réalisée par Claire Beaumont, directrice de l'Observatoire canadien pour la prévention de la violence à l'école, 36% des 800 directeurs d'écoles publiques et privées interrogés ont affirmé que la cyberintimidation était présente dans leur école. Dans plusieurs cas, les policiers ont même dû intervenir afin de faire cesser cette violence psychologique. De plus, selon la Loi canadienne sur les droits de la personne, « Il est également criminel de publier un libelle diffamatoire, qui insulte quelqu’un ou peut nuire à sa réputation en l’exposant à la haine, au mépris ou au ridicule.»
Selon moi, il est temps qu’on agisse et qu’on prenne des mesures pour contrer ce phénomène avant qu’il prenne encore plus d’ampleur. Certains jeunes ne sont peut-être même pas au courant que les actes qu’ils posent sont criminels et qu’ils font partie de la cyberintimidation!
Finalement, comme Internet est un espace public et qu’il est difficile de savoir combien de personnes ont été victimes d’intimidation, je crois qu’il serait important de faire de la sensibilisation dans les écoles, surtout dans les quartiers défavorisés où 49% d’entre elles sont victimes de violence, afin de faire prendre conscience au jeunes que la cyberintimidation peut détruire la vie de quelqu’un.
Tout d’abord, suis-je la seule à trouver que le texte Bousiller une vie en quelques clics, bien qu’il parle d’un sujet important soit l’intimidation, est vraiment mal écrit? J’ai choisi cet article, car les thèmes qui y étaient abordés m’intéressaient, mais la lecture c’est révélé ennuyante et banale avec cette suite d’exemples non relié ou même expliqué qui font parti pour la plupart de notre quotidien. Je ne veux pas dire par la que tout le monde subi cette forme intimidation ou le fait aux autres, mais on connait et on entend se genre de situations à longueur de journée. (La scandaleuse histoire de photo moins habié en secondaire 3 ‘’made in Collège Français’’ en est la preuve.) Quels attraits trouverai-t-on alors à les lires? Aucun pour ma part. Ça ma fait réfléchir, peut-être que la platitude que j’associe a ce texte est dû à la banalisation des actes de cyber intimidations(ou il est vraiment mal écrie). Sa demeure tout de même un sujet délicat comme peut l’être la violence verbale. Certains vont les considérées comme bénignes et sans importance alors que ces formes d’agression détruisent de manière beaucoup plus insidieuse que les coups sur la gueule. On ne se rend pas compte du mal qu’on peut faire en quelques mots ou en quelques clics. Comme on ne réalise pas que les souffrances psychologiques sont souvent aussi douloureuses, mais bien plus difficile à soigner que les physiques. On ne conçoit pas non plus que quelqu’un qui nous tape sur nerfs, qui est fatiguant, méchant, égoïste, plate ou tout autre caractéristique qui nous donne le goût de l’exclure ou de le niaiser, n’est pas comme cela pour rien. Certaine personne souffre en silence de situation familiale complexe. Ils n’ont donc pas besoin de camarades de classes méprisant en plus. Et comme ajout tout personnelle de ma part : qu’est-ce que cela peu bien changer dans vos vie qui a couché avec qui ou qui prend des photos d’eux-mêmes dévêtu. S’intéresser a se point à la vie des autres c’est probablement ne pas en avoir!!!
Maintenant les jeunes n’ont plus besoin de se donner rendez-vous au rack à bicycles pour se livrer bataille. Avec l’évolution technologique la cyberintimidation est bien plus simple et bien plus destructrice. L’Internet est une arme redoutable. Un jeune qui en déteste un autre peu partir n’importe quelle rumeur, n’importe quelle insulte ou quoi que se soit d’atroce sur un blog, piczo etc. Et ça fait mal, très mal, car se n’est pas juste la personne concerner qui peut apercevoir ces méchancetés, mais tout le monde, tout son entourage, les gens que cette personne voit au quotidien, c’est certain qu’elle aura honte et qu’elle voudra rester enfermer dans sa chambre. Comme le mentionne l’auteur dans ce texte ceci peut amener la victime a changé d’école en plein milieu de l’année et de recommencer tout à zéro, en espérant que personne n’est au courant de ce qui circule à son propos.
Je suis contre la cyberintimidation et tout ce qui viens avec, mais je suis aussi en accord avec ce que certains élèves on écrit avant moi, qu’il faut penser avant d’agir et être soit disons responsable de ses actes, car on ne sait jamais quand des photos méprisantes de soit même, par exemple Léa qui a prit des photos nue, peuvent se retrouver sur un site à la vu de tous. Pas besoin de donner une raison de plus pour l’intimidateur de vous détruire.
Alors, selon moi, la cyberintimidation doit cesser, d’une manière ou d’une autre, il pourrait y avoir une loi s’il n’en existe pas déjà.
La cyberintimidation serait plus dévastatrice que l’intimidation traditionnelle? Par traditionnelle, nous entendons par l’usage de mot, vis-à-vis la personne. Personnellement, je ne crois pas que l’intimidation par la technologie soit plus ravageuse pour un individu. Est-il plus blessant de recevoir des insultes par l’entremise d’un email, d’un message texte ou d’un site de réseautage sans but, vraiment, que de se le faire dire en pleine face, tel une claque au visage? Je crois que les plus grands dégâts infligés sont lors de la « bonne vieille méthode ».
Après le suicide de son fils dont on ne connaît pas la cause (peut-être bien en raison de dissuasions persistantes), John Halligan milite pour la mise en place de lois pour la prévention de la cyberintimidation. Cependant, il ne faut pas se le cacher, l’intimidation est présente dans la vie d’enfant. Elle varie selon des degrés d’importance, mais elle ne pourra jamais s’estomper de façon adéquate. Comment gérer ce problème? Comment y remédier, même partiellement? Il est difficile de cibler et, surtout, de reconnaître les enfants touchés par ces approches. La plupart garderont le silence, erreur qui peut bien être fatale; les agresseurs ne se rendant souvent pas compte des conséquences de leur parole sans pitié, sans compassion. Peut-on vraiment en vouloir aux enfants? Selon moi, la source du problème remonte aux parents. Plusieurs facteurs peuvent rendre un enfant moins réceptif de sentiments pourtant fondamentaux tel l’amour : rupture parentale, violence verbale en son encontre…
La violence est au quotidien de l’enfance. Souvent insignifiante, car les enfants ne connaissent pas la vraie valeur des mots. Malgré tout, certains mômes seront toujours plus réceptifs aux paroles que d’autres. Ce problème est grandissant avec la hausse de popularité trop rapide de la technologie. On se croit sans limites et ce, au détriment de gens, au fond, aussi stupides, aussi laids, aussi lucides, aussi beaux que nous-même.
Ces problèmes de différences sont faits pour persister, malheureusement…
Selon moi, la cyberintimidation n'est pas un problème que l'on peut régler simplement en « ignorant » les attaques comme Camila l'a mentionné. Je crois plutôt que la seule manière efficace de réduire la cyberintimidation est de stopper le problème à la source, dans les écoles primaires et secondaires. Je suis certain qu'une bonne campagne de sensibilisation dans toutes les écoles du Québec, voir du Canada, aiderait grandement à réduire de manière significative les problèmes de cyberintimidation et peut-être même de prévenir des cas comme celui de Ryan Halligan. La solution n'est pas de rester là sans rien faire en attendant que la tempête passe. Il faut agir alors qu'il est encore temps afin de prévenir la cyberintimidation.
Nous savons tous qu'Internet est un outil grandement fréquenté par les gens que ce soit les jeunes ou les plus âgés. C'est pour cette raison que nous devons être très prudents pour ce qui a trait aux informations personnelles que nous voulons publier. C'est un réseau qui est international. Nous savons également que c'est sur cet outil que les informations circulent le plus vite et peuvent être manipuler à la guise des gens. Ces informations ne sont pas toujours vraies. Elles peuvent être totalement non-fondées ou modifiées. C'est pour ça que nous ne devons pas toujours croire ce que nous voyons.
Pour ce qui est des sites personnels tels que Piczo, Myspace et j'en saute, il faut être très prudents avec ce que nous publions: informations personnelles, histoires vécues, etc. On va dire que je vais sur le site d'une personne que je ne connais pas et qu'il est écrit que telle personne est une saloppe pour x raison et bien lorsque que je vais voir cette personne je vais déjà avoir mon idée de faite. Je vais me dire ''ah cette personne est saloppe'' sans même savoir si ce qui était écrit est vrai.
Pour moi, la cyberintimidation est pour les lâches, car ils ne sont pas capables de confronter la personne face-à-face. Internet est un moyen facile de se protéger et c'est pour cette raison qu'il y a beaucoup de cyberintimidation.
C'est impossible d'abolir la cyberintimidation, car c'est au niveau international et de jour en jour, les gens trouvent de nouvelles façons de contrer les blocages faits par le gouvernement. Il est juste question de sensibiliser les gens à ce sujet et de les prévenir des risques.
Alors, avant de publier quelquechose au sujet d'une personne, il faudrait penser aux conséquences que cela engendrerait et même aller demander à la personne si c'est tout okay pour elle.
Atteinte à la réputation, ne s'agit-il pas ici d'une violation des droits de la personne. En effet, il y est mentionné que toute personne possède le droit de respect de son intégrité publique ainsi que de sa réputation. De nos il semble de plus en plus difficile de décortiquer ce qui représente une violation de cette loi et ce qui n'est pas considéré comme un affront à la réputation. Ce qui rend cette sélection aussi complexe, selon moi, c'est l'internet. De plus en plus de gens fréquentent les blogues et pages skyrock(facebook...etc.) et l'internet est devenu indispensable dans la vie d'un étudiant si bien qu'une personne ne possédant pas d'telles pages se fera regarder de travers. Il est vraie qu'il est excessivement simple de se faire passer pour une autre personne sur internet ou de se procurer des documents( photos..vidéos) qui pourraient comprometre le le respect de la réputation de quelqu'un. Je crois fermement que la règlementation sur internet devrait être reconsidérée et que toutes les photos devraient posséder des droits d'auteur de facon à ce que personne ne puisse copier-coller une photo compromettante ou pas si elle n'a pas un droit sur cette dernière.Les droits seraient donnés ou plutôt réquisitionnés par la personne présente sur la photo et les photos de groupe posséderaient une appartenance partagée entre les différentes personnes présentes. Je crois que cela freinerait efficacement ce fléau qu'est l'atteinte à la réputation d'autrui.
La cyberintimidation est un problème récurant dans nos écoles. Il est bien sur évident que, sous le couvert de l’anonymat, les jeunes qui sont intravertis ou timides dans la vie de tous les jours peuvent être tentés de se défouler et de laisser libre cours leur frustration. Lorsque l’on n’a pas à répondre de ses actes, il est bien plus facile d’insulter les autres et de les blesser. Et même si on n’agit pas dans l’anonymat et que l’on s’expose, Internet est un très bon outil de discrimination. Le fait qu’il n’y est pas d’interaction direct entre la victime et son bourreau permet à ce dernier d’agir sans peur de représailles immédiates.
Je suis tout à fait d’avis qu’il ne faut pas se croiser les bras et qu’il faut entreprendre des démarches à la grandeur du Québec de façon à enrayer ce phénomène. Une campagne de sensibilisation serait bien sur le bienvenu mais je crois qu’il faudrait plus que cela. En effet, je crois que l’éducation est la clé. Les parents devraient surveiller les activités en ligne de leurs enfants. Je ne suis pas le premier à le dire, c’est une mauvaise idée de laisser son enfant avec un ordinateur dans une pièce avec une porte fermée. L’ordinateur doit être placé de façon à ce que les parents puissent jeter un coup d’œil, de temps en temps, à l’écran et ainsi juger si ce que leur enfant fait est raisonnable. De cette manière, les parents pourraient intervenir lorsque que la situation dégénère et empêcher la création d’autres sites à caractère discriminatoire tel que ceux cité dans l’article.
Selon moi, je crois que la cyberintimidation est un problème de nos jours; plusieurs personnes en sont victimes. Je crois qu'il y a deux catégories distinctes; ceux qui se font intimider sur internet pour aucunes raison apparentes et ceux qui se font intimider à l'école car ils ont mis des photos compromettantes sur le net. Les premiers sont, selon moi, vraiment des victimes car ils n'ont rien fait de mal. Mais ceux qui se font intimider car ils (ou elles) on mis des photos ou des vidéos compromettantes sur internet ne sont pas vraiment des victimes dans mon estime personnelle. Ce n'est pas par-ce que tu as pris quelques bières de trop que ça l'excuse tout. Je crois que c'est même pire. Oui c'est sur qu'ils sont victimes aussi mais d'un côté, ils ont bien courus après non?
Pour ma part, je suis complètement d’accord avec Laurie lorsqu’elle dit que le texte d’Émilie Côté est rempli d’informations plutôt banales, n’ayant pas vraiment de données précises quant à la cyberintimidation. Oui, c’est un phénomène qui se multiplie, mais les adolescents qui en sont les plus contraints sont d’habitude ceux qui donnent assez d’outils à leurs intimidateurs. Internet est un outil très facile à utiliser, donc au lieu de se plaindre de son sort quant à des informations compromettantes, il ne vaut mieux jamais les afficher ni les donner. C’est un espace public et ces informations se révèlent personnelles, donc il faut les grader pour soi selon moi. Donc, selon moi, il faut surtout apprendre les jeunes de ne pas afficher leur vie comme un livre ouvert. Par contre, j’en suis sûre que même sans la présence d’Internet, les personnes qui cherchent l’attention des autres trouveront d’autres moyens pour se déployer.
La cyberintimidation , un sujet qui de plus en plus, prends un taille excessive. On ne fait qu'en parler dans les écoles, mais est-elle comprise aux yeux de tous les jeunes adolescents de 12 à 14 ans ? Et ont-ils prit en considératuion les conséquences liées a TOUT cela ? "Si on se fit au sondage effectué l’hiver dernier par l’organisme Jeunesse J’écoute, 70% des jeunes ont déjà été intimidés sur l’internet, alors que 44% en ont déjà fait subir". Donc la sitation n'est toujours pas réglée et n'est pas en voie de développement.
La cyberintimidation peut prendre plusieurs formes, soit avec des dires sur Internet , des paroles blessantes envers un autre élève ou par écrit pour des jeunes qui n'ont pas le "courage" de dévoiler leurs ressentis. Si l'on prends l'exemple de la fille qui s'est fait filmer en train " de se faire du plaisir" par son soit disant amoureux et qui s'est retrouvé sur Internet. A-t-elle pensé aux conséquences dans TOUT CELA ?
Les jeunes, ont-ils seulement conscience de leurs actes et des effets négatifs qui vont les suivre tout au long de leur adolescence et même peut-être de leur vie ?
Selon moi, il est temps d'intervenir et de mettre un STOP à toutes ces situations qui vont de plus en plus loin et s'y mettre un terme.
Avec les progrès de la technologie, la cyberintimidation est omniprésente. Le fait de pouvoir avoir accès à internet et d'insulter virtuellement quelqu'un avec qui tu viens d'avoir un petit malentendu donne un sentiment de pouvoir à certaine personne. Je m'explique. Avant l'arrivé de l'internet, quelqu'un qui vient d'avoir une dispute avec un ami et qui voudrait l'humilier l'aurait fait publiquement ce qui aurait pris plus de courage que seulement l'insulter en quelques cliques sur internet.
Plusieurs personnes sont intimidés, chaque jours, et parfois même terrorisés. Comme ça s'est passé avec Megan Meier, âgée de 13 ans qui avait eu une dispute avec la fille de Lori Drew. Lori à perdu la tête à cause la dispute qu'à eu sa fille avec son amie et elle est allée utilisé un profil MySpace pour intimider, harceler, humilier et perturber la pauvre Megan. Madame Drew s'était faite passée pour le petit ami virtuelle de Megan et aurait rompu avec elle. Une heure après cette incident, Megan s'est pendue, ne pouvant plus supporter la douleur.
Avant de dire quoi que se soit à quelqu'un sur internet et même en face, penser bien au conséquence de vos gestes. Personne n'est pareille, il y a en des durs comme des plus sensibles. Pensez avant d'agir et la vie vous sourira.
Le passage à l'âge adulte se voit toujours parsemé d'embûches chez l'adolescent, ce qui fait inévitablement partie de la vie. Mais aujourd'hui, ces obstacles, plus précisément ceux menant à l'acceptation sociale, ne sont plus sous forme d'intimidation verbale ou physique, les bourreaux sont maintenant passés à un autre niveau souvent beaucoup plus facile, mais énormément destructeur: la cyberintimidation.
Je croit que la principale façon de contrer ce fléau est sans contredit la prévention et ce, dès le moment où un enfant est capable de se servir d'un ordinateur, ce qui peut se révéler très tôt. D'après moi, ce qui fonctionne très bien pour sensibiliser les jeunes, c'est les faits vécus et, malheureusement, il en existe des tonnes. Comme le dit Charles Corneau, la source du problème commence dès l'école primaire, alors quoi de mieux qu'une petite conférence pouvant bien capter l'attention de l'enfant et le faire réagir face au sujet.
Pour revenir au commentaire d'Emmanuelle, il est faux de dire que ces crimes demeurent impunis et les lois non respectées puisqu'un tribunal pour jeune existe justement pour appliquer une correction au "criminel", un enfant ne pouvant être jugé comme un adulte, on leur donne alors une sentence rasisonnable quant à la faute commise. Ce n'est pas parce qu'on n'en entend pas parler que cela n'arrive pas.
Il vrai que de recevoir une claque sur le champs fait mal, mais il existe différente forme de violence qui affecte également les gens. La cyberintimidation en fait partie. Cette violence sous forme psychologique fait en sorte qu’une personne a le sentiment de n’avoir aucune valeur et de ne pas être aimée. De nos jours, il est de plus en plus facile de ridiculiser quelqu'un a l'aide des moyens de communications les plus convoités au monde. Cependant, dans le texte présenté ci-haut les victimes sont partiellement responsable de leur sort. Prenons l'exemple d'une jeune fille d'une école quelconque qui s'est photographie nue et la envoyé a son copain et celui-ci décide de le mettre sur youtube. Ce que j'insinue par est qu'il faut se garder une petite gêne lorsqu'on est sur l'internet, car nous ne savons pas comment cela peut se tourner contre sois.
La cyberintimidation, c'est quand une personne utilise un moyen technologique, comme un ordinateur ou un téléphone cellulaire, pour te faire du mal volontairement. Souvent les intimidateurs vont se croire supérieurs et vont véhiculer des choses personnelles ou embarrassantes sur ses victimes. Mais, pourquoi est-il si difficile de faire cesser cette intimidation virtuelle? Il s’agit pourtant d’un phénomène qui touche de plus en plus d’adolescents, un peu partout dans le monde.
Suite aux commentaires de plusieurs de mes collègues, je suis du même avis que ces derniers concernant l’histoire de Léa. Je peux même rajouter que de nos jours, étant donné que de plus en plus de jeunes possèdent des cellulaires ou encore des adresses courriels, les principales sources d’où émerge ce phénomène qui ne peut qu’amplifier si on ne sensibilise pas les victimes à les dénoncer.
Finalement, avez-vous déjà pensé aux répercussions que peux avoir cette forme d’intimidation? Et bien, des cas de suicide ou encore de dépression ont été signalés aux États-Unis et en Angleterre. De plus, au Japon, une jeune victime a fini par tuer son cyberagresseur. Peu importe ce que les autres vont dire, je crois qu’il est littéralement le temps de «stopper » cette cyberintimidation qui affecte autant les agresseurs que les victimes.
La cyberintimidation est l’une des formes d’intimidations les plus simples à éliminer à mon avis. Pour mieux comprendre mon point de vue, je vous expliquerai de quelle façon simple les jeunes peuvent ne pas être affecté. Premièrement, la technologie ne devrait pas être utilisé de façon violente ou agressante, mais plutôt pour des raisons scolaires et scientifiques. Pour les jeunes qui se font intimider sur le net, je leur donne cet avis n’utilisez pas l’Internet pour communiquer et clavarder, mais seulement pour les devoirs. De cette manière, ils ne pourront pas se faire intimider. Deuxièmement, pour ceux qu’ils ne sont pas capables d’arrêter leur dépendance au net, ils peuvent éliminer les pages Web incluant des informations qui peuvent ruiner leur réputation en envoyant des courriel ou en appelant le site Web dont la rumeur a été divulguée en leur demandant d’effacer tous ce qui est de mauvais goût. Ce que plusieurs jeunes font, ce qui est ridicule, est qu’il garde cela enfermé et n’en parle aucunement à personnes, car ils se sentent seuls, lorsque plus de la moitié de la population en souffre, à mon avis cela est ironique. De plus les raisons d’intimidation peuvent être minime, mais la réaction du jeune qui est intimidé peut varier de pleurer jusqu'à se suicider comme John Halligan, qui sont fils c’est suicidé après avoir été cyberintimider.
Avec internet et tous les sites de réseaux comme Facebook, Piczo et Doyoulookgood, il est impossible d’arrêter la cyberintimidation. Il y aura toujours des personnes mal intentionnées qui iront intimider des gens que ce soit avec ou sans internet. Je pense donc que c’est à nous de surveiller nos gestes pour éviter l’intimidation. Par exemple, éviter les vidéos et photos compromettantes ou simplement de ne pas dire des choses irréfléchies sur ces sites car cela pourrait se retourner contre nous. Aussi, je crois qu’il est important de faire de la prévention dans les écoles car nos parents n’ont pas vécu avec internet dans leurs jeunesses et ne peuvent donc pas nous avertir des dangers qu’il contient.
La nouvelle technologie nous permet de faire plein de choses beaucoup plus rapidement qu’au paravent. Des recherches pour des travaux, par exemple, s’effectuent en quelques clics. Beaucoup d’avantages sont associé à l’internet, mais tous bons cotés ont leurs défauts. Puisque le système de communication s’est amplifié, tout peut se faire savoir encore plus vite. Alors qu’une rumeur est lancée sur un individu, tout le monde peut la savoir en une journée et comme nous avons toujours dis, les paroles s’envolent mais les écrits restent. C’est de là que nous venons à nous demander si la cyberintimidation est une nouvelle forme d’intimidation formé suite à l’avancement de la technologie. Selon moi, il est claire cette forme d’intimidation est causé par le progrès technologique, mais continue à ce développer par un manque de surveillance des parents et une extrême facilité de divulgation d’information.
Tout d’abord, le manque de surveillance des parents est selon le plus gros facteur qui permet à la cyberintimidation de continuer à faire des victimes. Effectivement, si les parents surveillaient ce que leurs enfants disaient sur l’internet, cela éviterait beaucoup de problèmes. Lorsqu’il l’internet n’existait pas, l’intimidation était moins grande car les adultes étaient beaucoup plus présents dans la vie des jeunes. Maintenant avec l’arrivé de l’internet, les jeunes ont trouvé un lieu où ils peuvent être plus libre. Pour être plus précise, une place où ils peuvent dire ce qu’ils pensent sans nécessairement être reconnu. Si les parents voyaient ce que leurs jeunes publient, la majorité leurs donnerait une bonne correction.
De plus, il est très facile de divulguer des informations vraies ou fausses sur l’internet. Beaucoup de choses sont dites impulsivement. Si deux enfants étaient un en face de l’autre, selon moi ils se diraient beaucoup moins de choses que sur internet par peur d’être bousculé. Mais en face de leurs écrans ils sont en « sécurité », il ne peut rien leur arriver. Mais c’est lorsqu’ils sortent de leur « monde » qu’ils subissent les conséquences.
Donc, les jeunes devraient être mieux encadrés par leurs parents, mais il devrait aussi y avoir des lois pour contrer cette intimidation. Pensez y bien, comment réagiriez-vous si votre enfant revenait à chaque soir en pleurant à cause d’une rumeur sur internet?
De nos jours les adolescents sont tous branchés sur ce qu'on appelle internet."Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web, en utilisant le protocole de communication IP (internet protocol). Son architecture technique qui repose sur une hiérarchie de réseaux lui vaut le surnom de réseau des réseaux."En d'autres mots un moyen plus que puissant de diffusion d'information.
Les jeunes savent comment utiliser internet et sont également conscient des risques a exposer ses informations en ligne, à la vu de millier d'autres personnes. Donc je crois que tout est une question de responsabilités. Même si la jeune fille de 14ans était pas en état de réaliser tout les futurs répercussions de son geste, cela était toutes fois sa responsabilité de penser avant d'agir.
Pour ce qui est de la méchanceter des jeunes, pour moi, cela est encore une question de responsabilté, il est important de caché certaines informations a risques d'être vu par des personnes non désirées.
Même si. grace a internet, il est plus facile de diffuser des informations, de dire des commentaires tout en gardant l'anonyma,C'est a lutilisateur de faire une bonne utilisation et a ne pas afficher inutilement trop d'information personnelle.
De nos jours, bien que la technologie contribue avantageusement à bien des facettes de la vie, elle amène aussi son lot de soucis. Avec les sites de pages personnelles comme Piczo, Facebook, Netlog, Myspace, etc. n’importe qui peut poster des photos ou des vidéos qui peuvent être vus par une multitude de gens connus ou inconnus et ce sans contrôle. Par conséquent il faut donc s’auto-discipliner et faire preuve de prudence.
Ainsi les gars ou les filles qui prennent de l’alcool comme la jeune Annie sont responsables des conséquences de leur comportement. Ils savent que les sites internet existent et qu’il y a un risque de publication et de distribution à leur insu. Les filles qui se filment en train de se masturber devraient être plus responsables ou au moins plus prudentes. Elles devraient savoir que dans une société moderne comme la notre, il est extrêmement facile de publier un vidéo et que la majorité des jeunes en couple finissent par se séparer.
Par ailleurs, les filles qui insultent d’autres filles par méchanceté ou jalousie sur ces sites devraient être punies. C’est inacceptable, un commentaire peut mener quelqu’un jusqu’à changer d’école, déménager ou même à se suicider. Phoebe Prince, une jeune fille de 15 ans s’est suicidée à cause de plusieurs filles jalouses de son copain. Les filles lui envoyaient des messages textes et facebook disant qu’elle était une salope, une pute, une connasse, etc. Selon moi, les amis d’un enfant insulté devraient avertir les parents, si l’enfant ne l’a pas déjà fait. Si c’est nécessaire, les parents devraient poursuivre en justice les intimidants pour mettre fin à ces actes irrespectueux. Les sites qui publient ce genre de commentaire devraient aussi être plus vigilants et des conséquences devraient survenir lorsqu’il y a abus.
Internet n'est qu'un moyen de communication, si les gens s'en servent pour s'intimider ou s'harceler c'est qu'ils le feraient meme sans internet. Pour ceux qui publient des informationsn videos ou photos compromettantes sur Facebook, des blogues ou n'importe ou d'autre sur internet, puis se plaignent ensuite des consequences qui s'abbattent sur eux doivent realiser qu'internet est la plus grande place publique au monde et tout le monde a acces a l'information, tu n'irais pas en plein milieu de la rue nue devant tout le monde, pourquoi le faire sur internet? C'est parce que les gens pensent qu'internet est un univers parallel ou tout est correct. Le monde en general doivent realiser qu'internet est une place plutot dangereuse et si tu n'est pas pres a te defendre, tu ne devrais pas y aller.
Comme chacun l’a déjà mentionné, pratiquement tous les adolescents d’Amérique du Nord entretiennent une cyber-vie. Il est donc peut surprenant que la bonne vieille intimidation face à face c’est transposé vers cet univers parallèle qu’est l’internet. C’est pourquoi il est primordial de faire attention à ce qu’on met en ligne puisque rien n’est effaçable du net.
Qui plus est, tout comme Laurie Beaulieu-Maturin l’à déjà soulevé, ce genre d’acte n’est non-seulement pas nouveau, mais aussi tellement répandue que s’est presque normal que de connaître quelqu’un ayant subit ce genre d’agression. Et là est justement le problème puisque les personnes victimes de ces actes de défoulement enfantins se disent que sa touche beaucoup de personnes et que si c’est tomber sur elles, elles ne peuvent rien y faire et doivent l’assumer. Ce qui est totalement faux ! Ces personnes ne doivent pas se laisser faire, et réagir. Par réagir j’entends dénoncer cet acte criminel et surtout éviter d’entrer en contact avec l’agresseur. Le persécuteur, à force de parler dans le vide, va s’épuiser, se tanner et inévitablement arrêter. Il ne faut surtout pas répliquer, car dans ce cas il sait qu’il touche une corde sensible et qu’il peut faire des dégâts en utilisant son clavier. En plus, tout ceci ne lui donnerait qu’une raison de plus pour vous harceler de plus belle.
Malgré tout, la cyber-intimidation s’accroit d’année en année et il est plus que tant que cesse ce fléau. Il faut non seulement des actions d’organisme externe, mais surtout que les gens prennent conscience qu’il devrait être facile de se départir d’internet et qu’il ne faut pas en être dépendant. Il est peut-être facile de bousiller une vie en quelques clics, mais ce devrait être d’autant plus facile de s’abstenir d’utiliser régulièrement un programme qui nous rend vulnérable à ce genre d’attaque.
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