Elles ont parfois 15 ans, parfois 50, parfois 73, mais elles ont toutes ce point en commun: elles se réveillent le matin en pensant à leur poids. Un poids qu'elles détestent, évidemment.
Elles regardent donc la journée qui s'en vient et se demandent comment elles vont faire, aujourd'hui, pour mener la bataille. La bataille contre tous ces aliments dont elles ont envie mais qui, dans cet univers, sont des ennemis.
Dans la tête de ces femmes, un bol de crème glacée, un rouleau de printemps, un sandwich, ne sont jamais inoffensifs: ils ont le pouvoir de faire tomber leur volonté, de leur donner l'impression de grossir. Et de gâcher la journée qu'elles termineront convaincues, encore une fois, d'être triplement nulles.
Bref, la vie, dans leur monde à elles, est un parcours chargé d'embuscades et de mines qui ont pour noms pommes de terre ou tranche de pain.
Étranges personnages?
Regardez autour de vous. Ces soldates de la guerre contre les calories sont partout: c'est votre mère, votre amie, votre collègue. Celle qui parle toujours de son régime, mais celle aussi qui n'en parle pas mais qui mange de la salade tous les midis
Au Québec, plus d'une femme sur cinq estime que la gestion de son poids «domine» sa vie.
Une femme sur cinq voit la vie à travers ce prisme. Et ne mangera jamais une blanquette en riant de bon coeur. Trop bon et trop crémeux, toute cette béchamel
Ce chiffre désespérant provient d'un nouveau sondage Ipsos commandé par les Producteurs laitiers du Canada et rendu public lundi.
Effectué auprès de 3000 femmes, ce sondage met des chiffres sur ce qu'on voit autour de nous chaque jour: 73% des Québécoises veulent perdre du poids, même la moitié des femmes qui ont un poids tout à fait santé; 62% ressentent une pression sociale pour être minces ou perdre du poids; 83% veulent perdre du poids pour améliorer leur image d'elle-même, alors que 65% invoquent plutôt la santé.
Bref, si tant de femmes veulent maigrir, c'est essentiellement pour l'apparence.
Mais quelle apparence?
Celle des images artificielles dont on est bombardées?
Deux autres études sont parues récemment et portent elles aussi à réflexion.
D'abord, une étude néerlandaise faite par des économistes de l'Institut national pour la santé publique et l'environnement nous a appris que la lutte contre l'obésité pouvait sauver des vies, mais pas faire économiser de l'argent.
En effet, si on aide les gens à survivre en les faisant maigrir, ils finissent par vivre plus longtemps et par engendrer d'autres coûts en soins de santé.
Le discours voulant que la lutte contre l'obésité soit une lutte menée au nom de la survie financière du régime de santé public devra-t-il être révisé? Devra-t-on mieux définir pourquoi exactement on veut absolument lutter contre l'obésité? Et, en profiterons-nous pour nous poser les vraies questions sur les nombreux effets pervers de notre obsession collective supposément santé au sujet du poids?
L'autre recherche a été faite par une équipe de l'Université Purdue, en Indiana, et a été effectuée avec des animaux de laboratoire nourris au faux sucre, qui ont fini par manger beaucoup plus et grossir beaucoup plus que leurs amis nourris au vrai sucre.
Selon les chercheurs, c'est probablement parce que le faux sucre brouille l'évaluation instinctive de la valeur nutritive réelle des aliments.
En d'autres mots, en se nourrissant de sucre sans calories, le corps ne sait plus reconnaître quand il doit s'arrêter pour manger uniquement ce dont il a besoin. Donc vaut mieux manger du vrai sucre. Ou du sirop d'érable, j'imagine.
L'étude est dans le numéro de février de Behavioral Neuroscience pour les «une sur cinq» qui ne me croiraient pas.
Marie-CLaude Lortie, La Presse, 13 février 2008.
Elles regardent donc la journée qui s'en vient et se demandent comment elles vont faire, aujourd'hui, pour mener la bataille. La bataille contre tous ces aliments dont elles ont envie mais qui, dans cet univers, sont des ennemis.
Dans la tête de ces femmes, un bol de crème glacée, un rouleau de printemps, un sandwich, ne sont jamais inoffensifs: ils ont le pouvoir de faire tomber leur volonté, de leur donner l'impression de grossir. Et de gâcher la journée qu'elles termineront convaincues, encore une fois, d'être triplement nulles.
Bref, la vie, dans leur monde à elles, est un parcours chargé d'embuscades et de mines qui ont pour noms pommes de terre ou tranche de pain.
Étranges personnages?
Regardez autour de vous. Ces soldates de la guerre contre les calories sont partout: c'est votre mère, votre amie, votre collègue. Celle qui parle toujours de son régime, mais celle aussi qui n'en parle pas mais qui mange de la salade tous les midis
Au Québec, plus d'une femme sur cinq estime que la gestion de son poids «domine» sa vie.
Une femme sur cinq voit la vie à travers ce prisme. Et ne mangera jamais une blanquette en riant de bon coeur. Trop bon et trop crémeux, toute cette béchamel
Ce chiffre désespérant provient d'un nouveau sondage Ipsos commandé par les Producteurs laitiers du Canada et rendu public lundi.
Effectué auprès de 3000 femmes, ce sondage met des chiffres sur ce qu'on voit autour de nous chaque jour: 73% des Québécoises veulent perdre du poids, même la moitié des femmes qui ont un poids tout à fait santé; 62% ressentent une pression sociale pour être minces ou perdre du poids; 83% veulent perdre du poids pour améliorer leur image d'elle-même, alors que 65% invoquent plutôt la santé.
Bref, si tant de femmes veulent maigrir, c'est essentiellement pour l'apparence.
Mais quelle apparence?
Celle des images artificielles dont on est bombardées?
Deux autres études sont parues récemment et portent elles aussi à réflexion.
D'abord, une étude néerlandaise faite par des économistes de l'Institut national pour la santé publique et l'environnement nous a appris que la lutte contre l'obésité pouvait sauver des vies, mais pas faire économiser de l'argent.
En effet, si on aide les gens à survivre en les faisant maigrir, ils finissent par vivre plus longtemps et par engendrer d'autres coûts en soins de santé.
Le discours voulant que la lutte contre l'obésité soit une lutte menée au nom de la survie financière du régime de santé public devra-t-il être révisé? Devra-t-on mieux définir pourquoi exactement on veut absolument lutter contre l'obésité? Et, en profiterons-nous pour nous poser les vraies questions sur les nombreux effets pervers de notre obsession collective supposément santé au sujet du poids?
L'autre recherche a été faite par une équipe de l'Université Purdue, en Indiana, et a été effectuée avec des animaux de laboratoire nourris au faux sucre, qui ont fini par manger beaucoup plus et grossir beaucoup plus que leurs amis nourris au vrai sucre.
Selon les chercheurs, c'est probablement parce que le faux sucre brouille l'évaluation instinctive de la valeur nutritive réelle des aliments.
En d'autres mots, en se nourrissant de sucre sans calories, le corps ne sait plus reconnaître quand il doit s'arrêter pour manger uniquement ce dont il a besoin. Donc vaut mieux manger du vrai sucre. Ou du sirop d'érable, j'imagine.
L'étude est dans le numéro de février de Behavioral Neuroscience pour les «une sur cinq» qui ne me croiraient pas.
Marie-CLaude Lortie, La Presse, 13 février 2008.
19 commentaires:
Effectivement, il est difficile de se regarder tous les jours dans le miroir et de ne pas se trouver au moins un défaut. Personnellement, j'essaye le plus possible de ne pas me mettre en face d'un miroir parce que ça pourrait définitivement m'affecter. Je suis évidement contre l'idée de faire des régimes afin de maigrir lorsque la personne est en santé juste parce que le petit bourrelet sur ses hanches est de trop. Je croit plutôt qu'il est important de s'aimer tel qu'on est quel que soit notre poids. À mon avis, ces femmes qui tombent dans l'anorexie parce qu'elle croit qu'elles sont laides à cause d'un enrobage supplémentaire devrait regarder autour d'elles et prendre exemples sur celles qui s'aiment tout de même avec leur cellulite.
Aimez-vous tel que vous êtes! Vous êtes belles/beaux!
Il est vrai à 100% que les filles pensent constamment à leur poids. On n'entend parler celles-ci de cette situation sans arrêt. Elles nous posent toutes sortes de questions reliées à leur apparence physique, c'est rendu une véritable obssesion! Oui, il est important de bien manger afin d'avoir plus d'énergie et de bien faire fonctionner notre système. Par contre de se priver de manger quelque chose qui contient trop de calories me semble très abusif. Bref, selon moi il faut être bien dans sa peau, c'est ce qui compte le plus peu importe le poids.
Et si être bien dans sa peau, c’est d’être maigrichonne? Comment limiter la perte de poids? Parce qu’il doit certainement y avoir une limite par personne, non?
Je veux croire que ce n’est pas un désir personnel, mais une affectation psychologique. Je m’explique. Toutes ces femmes, majoritairement, en quête d’un poids « idéal » qui usent de régimes sans fondements (limitation de produits, pourtant vitaux, tels protéines, légumineuses & particulièrement, glucides) le font parce que les publicités occupent une place omniprésente dans les sociétés occidentales. Les femmes sur panneaux publicitaires sont retouchées, car la perfection n’est pas atteignable, chères demoiselles. La technologie est principale responsable. Les divers logiciels de retouche d’image conçus, comme Adobe Photoshop, sont à la base de ce cirque.
Heureusement, plusieurs agences de mannequins, pour une raison ou une autre, ont décidé de ne plus, dans les années à venir, retoucher les photos prises. C’est super! Enfin, ils ont compris. Les gens normaux vouent un culte à ces panneaux publicitaires. Et quoi de mieux qu’une vraie personne, sans retouche faciale ou physique, pour mener à bien leurs campagnes et, par le fait même, je crois, diminuer un taux de sous-poids ubiquiste. Certainement, les spécialistes du marketing sélectionneront avec soin les candidates pour la première de couverture, mais l’heureuse élue sera, aux premiers égards, plus naturelle.
Qu'en est-il du surpoids?
Les sociétés ponantaises sont fondées sur un seul & unique principe, le capitalisme. Le désir de capitaux. Le désir de posséder du capital, de l’argent. Non mais, quand est-ce que le monde mettra un terme à ce principe alors que des vies sont en jeu? Marie-Claude Lortie nous explique qu’une étude néerlandaise affirme que « la lutte contre l'obésité pouvait sauver des vies, mais pas faire économiser de l'argent. » Les rescapés des glucides vivront nécessairement plus longtemps, augmentant les soins de santé à leur égard. Qui dit plus de soins de santé, dit inéluctablement une hausse de coûts dans le domaine médical. Est-ce que nous feignons livrer une lutte à l’obésité, de plus en plus visible dans les sociétés occidentales pour posséder plus de liquidités, en fin de compte?
Il faut absolument se poser les bonnes questions face à un problème toujours croissant mondialement.
Voici un petit lien supplémentaire : http://www.youtube.com/watch?v=iYhCn0jf46U
Il n'est pas difficile d'admettre que Mme Lortie a raison de a à z. Les femmes d'aujourd'hui ont une obsession avec leur poids.À qui est la faute? Selon moi, c'est dû à la nouvelle mentalité de la femme parfaite. La femme qui doit avoir des beaux cheveux, un beau teint, un beau maquillage, être habillée aux dernières tendances de la mode et certainement être mince. Ainsi, avec cette mentalité présente, vouloir être mince est très compréhensible, mais à quel point faut-il maigrir? Au point d'en être malade. Être malade ne veut pas seulement dire physiquement, mais aussi mentalement. Ce qui veut dire que l'obsession est uniquement mentale, donc c'est seulement nous-mêmes qui nous entraînent à cela et qui peut y mettre fin.
Donc, il est important de se dire que l'essentiel est d'être en santé et de s'aimer telles que nous sommes comme l'a si bien dit Camila. Cela commence bien sûr par une bonne estime de soi!
Il est tout à fait vrai que pour une fille, le poids est une obsession. Notre apparence est une des choses qui comptent le plus. La plupart des filles croient que c’est selon leur apparence qu’elles seront jugées par les autres personnes. Comme nous le voyons avec le sondage fait dans l’article ci-dessus, 62 % des femmes ressentent une pression sociale pour être mince ou perdre du poids. Si nous pensons à toutes ses grandes affiches ou ces revues où nous voyons des jeunes mannequins extrêmement minces qui n’ont aucun défaut, il est clair que toutes les jeunes filles qui vont regarder ces photos voudront être aussi parfaites que celles-ci. C’est une des raisons qui poussent les jeunes filles à devenir anorexiques ou boulimiques! Mais ces photos sont retouchées plusieurs fois avant de donner ce résultat. Il est impossible d’être aussi parfaite que ces modèles! Bref, toutes ces filles qui veulent perdre du poids afin d’être plus acceptées ou parce qu’elle se trouvent trop grosses alors qu’elles sont d’un poids tout à fait normal devraient s’accepter telles qu’elles sont car elles sont parfaites comme elles sont!
Je suis du même avis que l’auteure de l’article…pourquoi tant de femmes recherchent à avoir ce poids parfait ? Lequel, on ne le sait pas, mais il semble qu’il ne faut pas avoir un seul bourrelet ! J’accuse notre société de vendre une fausse image de beauté en nous bombardant de photos de femmes maigrelettes. Pourquoi dans les magazines de mode la majorité, si non, la totalité des mannequins font une taille 2 ou 4 ? C’est normal, surement pas, la taille de vêtement portée par les femmes est en moyenne du 10.
Allez-voir ces photos. →http://styles.bangbangblog.com/files/2010/01/122209_terry3new_xl.jpg , →http://www.skinnyvscurvy.com/wp-content/uploads/2009/12/Skinny-VS-Curvy-in-V-Magazine-Jacquelyn-Jablonski-and-Crystal-Renn.jpg
On nous présente une modèle de taille 2-4 versus une modèle de taille 12 avec les mêmes vêtements. Les photos sont aussi belles, mais quand on pense que la plus petite doit surement avoir un régime drastique (voire, ne presque pas manger), on peut certainement plus envier celle avec des ‘’rondeurs’’. L’image ‘’idéale’’ est en fait créée par les médias.
*La mannequin taille forte, Crystal Renn, a été la première de son métier à faire les pages couvertures de 4 éditions internationales du Vogue et du Harpers Bazaar en 2007.
*La très populaire émission ‘’ America’s next top model’’ a élue en 2008 la première mannequin taille forte, Whitney Thompson (taille 12-14).
*L’édition du 14 Janvier 2010 du magazine de mode ‘’V magazine’’ a pour thème ‘’curves ahead’’. Les mannequins en vedette sont de taille plus.
Maintenant, est-ce que les femmes de notre société vont regarder ces exemples, les considérer et se rebeller contre les standards de notre société? Je dis oui, oui et encore oui !
Nous pouvons tous comprendre avec l’article et les commentaires précédents qu’obsession et poids vont de paires et sont même meilleurs amis lorsque l’on parle des filles. Comme la majorité, je suis tout à fait du même avis, seulement je pense qu’on cherche malheureusement à se voiler la face quant aux fautifs de ce problème.
Les médias qui nous mitraillent constamment d’images de la femme parfaite sont-ils en cause de tout cela? FAUX! Comme l’a mentionné François, il est vrai que l’unique but de ces publicités est de faire le plus d’argent possible. Mais selon vous, quel est le meilleur moyen d’attirer le consommateur à acheter? En lui montrant ce qu’il veut voir et rien d’autre. Ce que j’essaie de vous dire c’est que ces images que l’on voit à la télé ou dans les magasines sont en fait les yeux de notre société. En d’autres termes, NOUS sommes la raison pour laquelle les femmes se soucient tant de leur apparence et plus spécialement de leur poids. Le jugement que portent les autres sur nous même peut parfois avoir de graves conséquences. On a peur de ceux que les gens peuvent penser de nous, donc on cherche à paraitre la plus parfaite que possible et ce, selon le barème que tout le monde à imposé. Et si ce barème changeait? Si le standard n’était pas d’être mince? Peut-être que ce cycle vicieux finirait bien par s’arrêter.
Selon moi le plus important ce n’est pas de s’aimer comme on est, car croyez-moi, c’est beaucoup plus facile à dire qu’à faire! Mais plutôt d’aimer les autres comme ils sont ! Les choses seraient bien plus simple de cette manière.
Évidement que les femmes pensent constamment à leur poids, et se demandent le matin quel vêtement avantage mieux leurs corps. La plupart des femmes désirent être maigrelettes comme dans les magazines et les publicités qu’on peut apercevoir constamment à chaque jour. Je dis bien la plupart des femmes, car il y en a certaines qui, elles, se sentent bien dans leurs corps et qui n’ont pas besoins d’un régime ultra pour avoir un physique parfait. Au fait, ce ne doit pas être facile de faire un régime avec toute cette malbouffe qui nous entoure.
Pour en revenir au physique parfait, qu’est que c’est? C’est être super mince et mourir de faim? Je ne crois pas, il y a bien d’autres façons de garder la forme. Une femme peut manger ce qu’elle veut, mais si elle désire absolument avoir une petite taille, et bien il y a quelque chose qui existe qui s’appelle faire de l’exercice, du sport et ceci a tendance à garder un corps en bonne forme. Et si certaines femmes sont anti-sueur et qui ne font jamais de sport car c’est trop épuisant pour elles, j’ai une autre solution, mais sa revient toujours à l’exercice, de l’aérobie, j’en ai essayé et c’est très amusant, il y a de la musique qui donne l’envie de danser et de bouger alors le temps passe plus vite et tu sens que ton corps force en faisant ça.
Donc je crois que c’est le choix de chaque femme de faire de son corps ce qu’elle veut, mais elle n’a pas besoin de se priver et de mettre en danger sa santé pour le faire. Aussi un petit bourrelet n’est pas la fin du monde voyons, essayer de vous aimer telles que vous mesdames.
Tout d’abord, lorsque j’ai lu l’article un fait qui ma révoltée c’est que l’on ne devrait pas prendre en considération que la lutte contre l’obésité peut couter cher puisqu’ici on parle de la vie des gens qui pourraient être sauvé simplement avec un peu d’aide afin qu’il bouge leurs fesses et qu’ils aillent faire un peu d’exercices. Parce que bien sûr là plus part des femmes sont obnubilées par leur poids, et ce, à cause de la pression sociale constamment exercer sur l’apparence physique, mais si on demandait à un garçon ce qu’il aime le plus entre un paquet d’os ou une femme avec quelques rondeurs. Je parie que la majorité répondrait que les femmes ayant la peau sur les os ne sont pas ce qui les attire le plus. Cependant lorsqu’on est rendu à un problème d’obésité important et même avant, c’est-à-dire lorsque ta santé peut être mise à risque, je crois qu’il serait vraiment important de promouvoir le sport. Puisque selon moi c’est la meilleure manière de perdre du poids et de rester en santé sans vraiment penser à ce que tu manges. Également pour les femmes qui ont passé la ménopause le fait de faire de l'exercice physique de façon soutenue aide à réduire le risque de cancer du sein, indique une recherche publiée le 1er octobre dans la revue BMC Cancer. Pour conclure, je crois qu’il est a chacun décide quelle importance qu’on accorde a notre poids. Mais, faire du sport est quelque chose de très important a considérée dans tous les cas puisque cela ne peut faire que tu bien!
Qui n’a jamais entendu une fille se plaindre de son poids? PERSONNE! Cette manie de se trouver grosse est de plus en plus universelle et cela en grande partie grâce à toutes ces publicités où l’on voit des filles « parfaites » s’exhiber de toutes les manières possibles. On veut leur ressembler, être comme elles. On se crée une pression à soi-même, une pression qui pour certaines influence quotidiennement leurs humeurs et leur mode de vie. Mais cette pression a-t-elle vraiment lieu d’être? Je ne pense pas. Je crois qu’il faut savoir s’accepter comme on est.
Si une personne souffre vraiment d’obésité, se priver de manger n’est pas la bonne solution pour perdre du poids. La meilleure solution serait d’adopter une alimentation saine et équilibrée et faire du sport régulièrement.
L’obésité est un problème de santé, l’anorexie aussi. Le plus important est de trouver un juste milieu entre être trop grosse ou trop maigre, bref de trouver notre POIDS SANTÉ.
Pourquoi voulez-vous être plus mince?
Est-ce que cela vous rendra plus belle, populaire, en sécurité, en contrôle, contente? Est-ce impossible d’être/avoir cela, en étant comment vous êtes en ce moment?
Il y aura des choses que vous devriez abandonner pour atteindre ce but, vous êtes au courant n’est ce pas? Des choses comme votre sante, vivre le potentiel maximum, et peut être même votre vie. Le prix a payé est élevé pour obtenir la minceur, non? Plus que vous payez plus que vous recevrez, ou plutôt devrai-je dire, « plus que vous payez plus que vous perdriez ». Personnellement, je ne crois pas que cela vaut son prix.
Mais d’un cote maigrir, pour éviter des maladies dû a la obésité comme le diabète de type 2, le cancer, les maladies cardiaques, l’asthme, etc. Maigrir pour ses raisons est acceptable, car derrière cela, l’idée d’avoir une bonne santé est présente. Pour plus d’information sur les maladies, visiter le site:
http://www.regimesmaigrir.com/actualites/article.php?id=338
D’autres que ses raisons, je trouve qu’ils ne sont pas valide.
Alors, a mon avis, maigrir n’est pas nécessairement mauvais, ça dépend juste de la raison. Mais avant tout , chère population, pensez a votre santé! :)
Prendre une doctrine et une idéologie et l’appliquer à 100% n’a jamais été très gagnant. Ce principe s’applique à toutes les sphères de la vie.
Être inquiet de son poids n’est donc pas un problème selon moi. Il s’agit de trouver un juste milieu entre l’apparence physique et la vie saine. Dans ce sens, s’empêcher de manger une glace au chocolat ou un bon steak juteux serait trop exagéré puisque nous perdons une des plus grandes joies de la vie : manger! Il faut manger ce qu’on veut quand on le désire et s’occuper de sa silhouette par la suite!
La vie et les différentes cultures n’auront plus de sens si nous nous abstenons de savourer tous les délices de ce monde.
Nous vivons aujourd’hui dans une société où l’image physique est gravement trop importante. Je trouve cela complètement bouleversant, car cette situation enclenche d’énormes problèmes tels que l’anorexie.
Plus en plus de petites filles sont atteinte par cette maladie mentale qui consiste de se priver de la nourriture.
Êtes-vous conscients des conséquences de la dénutrition? La perte des muscles, la chute de tension artérielle, des malaises, des pertes de connaissance, des chute des cheveux, l’anxiété, l’insomnie et la fatigue en font une petite partie des dangers possibles de cette préoccupation tyrannique de l’apparence.
D’autre part, j’estime qu’il est crucial de considérer les risques sur la santé lors des décisions à propos des régimes alimentaires.
De nos jours l'apparence en generale, soit physique ou vestimentaire, occupe une grande place dans la vie de la majorite de la population. Les gens se basent beaucoup sur l'allure de la personne pour faire leur premier jugement et une fois etiqueté il est difficile de se debarasser de cette 'idee preconsu.
Cela est principalement du au fait que les gens aiment plaire et se faire aimer.Et donc avec les nouvelles valeurs "vide" de notre société, la manière la plus facile de se faire accepter est en soignant son apparence. Les gens sont des plus en plus superficielles et ils snobent ceux qui n'adhèrent pas a leur nouvelle valeur qui est l'apparence.
L'une des principales causes de ce phénomène est tout droit reliée a cette article, les filles qui veulent ressembler aux mannequins au corps parfait et survaloriser par la population. Cela causes des obsessions malsaines qui pousse ses filles a ce faire du mal pour être accepter dans le moule de la société.
Qui ne sait jamais poser ces fameuses questions : Devrais-je perdre du poids pour plaire aux autres? Suis-je trop grosse? Comment pourrais-je perdre du poids? Et oui, il s’agit d’un phénomène de société relativement récent qui touche en majorité les femmes, mais de plus en plus d’hommes aussi.
Si on recule un peu dans notre histoire, au début du 20ieme siècle, les peintres s’inspiraient de modèles féminins bien en chair. Et oui à cette époque les rondeurs étaient très bien perçues. Au fil du temps les standards on changer, les rondeurs ont fait place à la minceur. En réalité, très peu de femmes (moins de 10%) peuvent atteindre les standards démontrés dans les magazines et à la télévision; surtout quand nous savons que les photos publiés dans ceux-ci sont toutes retouchées. Le but visé n’est pas d’être mince, mais bien d’être en forme, bien dans sa peau et bien dans sa tête.
Finalement, je crois que de nos jours, on est rendu à un point tel que les gens doivent réellement se prendre en main et perdre du poids sainement sans faire un régime ultra demandant ou en se privant ! Je vais maintenant terminer en évoquant un proverbe de Driss Chraïbi. Celui-ci dit : "Mange et sois en paix ! Il n'y a rien de plus important que d'être en paix avec son ventre."
Bien sur que la perte de poids est un fardeau qu’un nombre inquiétant de femmes, de tous les âges, portent de nos jours. Effectivement, chaque regard qu’elles concèdent à une gâterie, dont elles ont tant envi, est traite à cette volonté de maigrir qui n’a pas sa place dans notre monde. Manger devrait leur apporter la joie et non le regret. De plus, la meilleur solution n’est pas de se priver en nourriture ou encore de manger des aliments avec le moins de calories possible, mais plutôt de faire plus d’activités physiques pour améliorer la forme et la santé.
Non mais d’où viennent tous ces stéréotypes qui disent que la femme qui est belle est la femme qui est maigre? Je connais la réponse, vous connaissez la réponse, tout le monde connaît la réponse! C’est ces maîtres du marketing qui nous agressent avec leurs publicités mettant en vedette leur toute dernière star : la femme mince. Aux dernières nouvelles, aucun de ces illusionnistes qualifiés n’est un prophète. N’y a-t-il pas un juste milieu entre la femme maigrichonne et le problème de l’obésité? Et bien, il est de mon avis que le « oui » fait l’unanimité. Bref, tout cela est bien désolant mais suis-je vraiment abasourdi par ce phénomène existant depuis déjà d’innombrables années? Malheureusement, dans mon cas, non!
Par contre, ce qui est désolant c’est de voir que certaines personnes osent déclarer que lutter contre l’obésité peut sauver des vies, mais, et je dis bien mais, que cela engendrent des coûts en soins de santé non nécessaires qui devraient nous faire réfléchir sur la raison de notre dévouement à lutter contre l’obésité. C’est complètement immoral de dire une chose pareille, comme si les personnes voulant sortir de l’obésité étaient des ennemis et des embarras financier. Sans aucun doute, il s’agit d’une pensée vide de sens.
En conclusion, je crois qu’il est important que les femmes et les jeunes filles comprennent que leur bien-être commence d’abord par ce qu’elles pensent d’eux-mêmes et non de ce que les autres peuvent penser d’elles.
Si ces femmes détestent tant que ça leur poids a un tel point où lorsqu'elle se réveille la première chose qui vient a leur esprit est leur physique, elles devraient faire quelque chose pour régler cette complexité. Ce n'est qu'une question de choix. Elles peuvent mettre le blâme sur les sucreries ou les aliments graisseux, mais les vrais coupables c'est eux-mêmes du a la lâcheté et au manque de discipline qu'elles refusent d'introduire dans leur vie. Il faut s'accepter comme on est, car sinon on ne fait que mettre des bâtons dans nos roues et cela nous empêche d'avancer.
Je suis 100% d'accord avec mon coéquipier et bon ami Felix Shum, le juste millieu est peut-être difficile à trouver mais il est éindispensable pour vive de facon saine et intéressante.J'aime suivre la mentalité qui me dicte de manger ce que je veux quand je le veux mais parle la suite cela m'oublige de bouger.Sachant que particier à des activités physiques en plus de permet de garder notre corps en santé ces même activités sécrètent des hormones qui stimules notre cerveau en diminuent le stress.Pour conclure,pouquoi s'empêcher de manger quand maintenant nous savons qu'une vie saine et active ne peut qu'être bénéfique pour tout le monde.
A mon avis, s’inquiéter de son poids et de vouloir en perdre n’est pas un problème, tant et aussi longtemps que les moyens entrepris par la personne, dans ce cas, la fille, ne sont pas néfastes pour la sante de celle-ci. Certaines filles mangeront de façon très malsaine, dans le but de paraitre mieux, mais dans ce cas, elles peuvent se causer des carences alimentaires, donc affecter leur santé négativement. Une personne qui veut améliorer son apparence physique devrait plutôt ce concentrer sur des façons plus saine, par exemple faire du sport et d’en faire régulièrement pour avoir des résultats. Comme vous le savez bien dans la vie d’aujourd’hui, plusieurs technologies nous enlèvent l’intérêt de faire du sport, combien de temps passez-vous devant l’ordinateur? Ou bien la télévision?... Cela était inexistant auparavant et les gens avait une bonne apparence physique et en même temps, une bonne sante. Donc la meilleure solution est de garder une alimentation saine, tout en changeant ces habitudes de vies qui n’aident pas au but recherche par ces filles.
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