samedi 13 mars 2010

Tuer comme un homme

Remettons d’abord les pendules à l’heure. Oubliez les Brigitte Bardot, les Pamela Anderson et les Paul McCartney qui tentent encore de nous bourrer le crâne sur la situation des phoques au Canada. Bien sûr, je peux comprendre que notre jugement puisse être altéré par les images surexploitées de ces mignons bébés phoques gisant dans leur sang. Le problème, c’est que la raison principale pour laquelle ces vedettes sont en guerre n’est finalement pas fondée.

Les phoques sont-ils réellement en danger au Canada?

La réponse est non. En fait, on compte environ six millions de phoques du Groenland sur la côte est du Canada, soit environ le triple de la population de phoques des années 1970. En effet, le gouvernement avait alors imposé l’arrêt complet de la chasse après avoir constaté une baisse importante du nombre de ce mammifère marin. Mais depuis, la situation semble complètement rétablie.

Ma question est la suivante: sachant que la population de phoques n’est plus en danger, est-ce que ça donne le droit aux chasseurs de les faire souffrir avant de les tuer?

C’est justement pour remédier à cette situation que le gouvernement du Canada a introduit cette semaine une nouvelle législation afin de garantir la mort rapide et peu douloureuse des phoques. Cette nouvelle législation implique un procédé en trois étapes que les chasseurs devront suivre à la lettre. Ainsi, après avoir assommé ou tiré sur le phoque, le chasseur devra regarder ses yeux pour s’assurer qu’il est mort. S’il ne l’est pas, le chasseur doit couper la principale artère de l’animal.

Cette initiative a pour but de rendre la chasse aux phoques plus humaine et moins barbare…

L’humain

Humain. Est-ce que tuer un animal peut vraiment être fait d’une façon plus humaine? Voici ce que l’on dit dans le Petit Robert à propos du mot humain: «Qui est compréhensif et compatissant», agir «Avec humanité, bonté, générosité».

Ouf.

Quand on sait que les chasseurs battent à mort des centaines de milliers de phoques chaque année à l’aide d’un gourdin, un gros bâton lourd et solide, j’ai un peu de réserve lorsque Kevin Stringer, du département fédéral du Canada pour la pêcherie et les océans, essaie de me faire croire qu’on tente réellement de rendre la chasse aux phoques plus humaine et moins barbare.

À la suite de la Commission Malouf, mise sur pied après la campagne de Brigitte Bardot en 1970, on révélait que le gourdin était le meilleur moyen de tuer un phoque. En effet, le coup de gourdin détruit le cervelet, le centre des sensations et le siège du système sympathique qui régit les automatismes comme le cœur et la respiration.

Mais pour cela, il faut qu’il soit assené au bon endroit…ce qui est rarement fait. Par conséquent, les phoques sont souvent encore en vie lorsqu’ils sont empilés sur le bateau des chasseurs et peuvent souffrir pour encore plusieurs heures. En fait, jusqu’à ce qu’ils succombent à leur blessure.

Les groupes écologistes radicaux, comme l’IFAW, ne mènent peut-être pas une campagne complètement transparente sur la situation des phoques au Canada. Mais pour ce qui est de la barbarie avec laquelle on massacre les phoques, je suis entièrement d’accord avec eux. Parce que même si on impose dorénavant un procédé pour s’assurer que le phoque est bien mort, il n’y aura pas plus d’inspecteurs pour contrôler et s’assurer que le procédé est vraiment suivi.

Battre à mort un phoque ne peut pas être fait d’une façon compréhensive et compatissante, avec bonté, humanité et générosité. La définition de l’«humain» selon le Petit Robert ne s’applique donc pas du tout à la chasse aux phoques.

Mais qu’est-ce que ce mot veut réellement dire?

Parce que quand je regarde ce que l’«humain» est capable de faire comme barbarie, quand je regarde les guerres, les génocides et les Robert Pickton de ce monde, je me dis que, finalement, c’est peut-être le Petit Robert qui se trompe.

Virginie Roy, Canoë, 12 mars 2008


14 commentaires:

GINGRAS, François a dit…

La définition du mot « humain », selon le Petit Robert, est juste. Il faut simplement l’appliquer au bon contexte. Croyez-vous vraiment que « tuer » et « humain » vont de pair? Ces mots ne peuvent en aucun cas être associés, d’une manière ou d’une autre. Peut-être que l’un peut travailler à faire oublier l’autre…

Prenons, par exemple, les groupes humanitaires mobilisés à Haïti suite au terrible tremblement de terre. Ceux-ci s’activaient et s’active encore, d’ailleurs, pour rendre leur lettre de noblesse à un pays qui n’en a jamais vraiment eu. Selon le logiciel Antidote, humain signifie ce « qui est sensible à ce que peut ressentir son prochain ». De mon point de vue, les phoques et les animaux sont mes prochains. Le bon vieux proverbe de l’enfance est de vigueur, encore une fois : « ne pas faire aux autres ce que l’on n’aimerait pas se faire faire ». Pourquoi laisser des animaux, pourtant sans défense, souffrir? Pour intensifier nos sources de revenus? Nous devons sérieusement commencer à nous poser de sérieuses questions sur notre gestion de notre univers terrestre.

L’arrêt de la chasse aux phoques par le gouvernement canadien était un pas futuriste dans le monde de la protection des animaux. Sous prétexte que, maintenant, la population de phoques ayant connu une hausse d’environ 300% lors de la période morte, le gouvernement (ré)autorise cette pratique. Faudrait-il que les Hutus reproduisent les actes de violence commis envers les Tutsis, lors du génocide rwandais en 1994 parce que ceux-ci ont connu une croissance naturelle de leur population? Il urge de considérer les animaux et le monde qui nous entoure comme une grande famille, la Famille de la Vie.

Certes, nous pouvons tirer profit des ressources mises à notre disposition, mais il reste que nous nous devons de ne pas franchir un seuil limite, où nous entamerions notre propre destruction, tel un poison mortel, incurable. Il n’est peut-être pas trop tard… Agissons dès maintenant pour sauver notre Famille. Nous ne pouvons pas, à nous seuls, simple être humain, détruire toute la beauté de ce monde, non? Laissons un héritage digne de ce nom à nos confrères et à nos consoeurs si nous devions, un jour, disparaître de ce monde.

Lydia Corneli a dit…

«Ma question est la suivante: sachant que la population de phoques n’est plus en danger, est-ce que ça donne le droit aux chasseurs de les faire souffrir avant de les tuer?»

La réponse à cette question est non, ça ne leur donne pas le droit du tout de faire souffrir les phoques avant de les tuer seulement parce que la population de cette espèce n’est plus en danger. C’est comme dire : telle population est trop nombreuse dans tel pays, donc on peut la laisser souffrir avant qu’elle meurt. Peut-être que certains vont dire que j’exagère parce que je compare les animaux aux humains, mais moi je vois cela de cette façon. Je suis une fille très sensible et surtout quand il est question d’animaux qui souffrent. Je veux vous faire constater que les animaux sont des êtres vivants, donc ils peuvent ressentir des émotions et de la douleur. Ce qui veut dire qu’ils peuvent être terrifiés de mourir et je peux vous dire qu’ils doivent l’être quand ils souffrent et qu’ils sont à deux doigts de mourir.

Aimeriez-vous être à leur place, mourir en souffrant avec personne pour vous aider ou pour mettre fin à votre douleur? Je suis convaincu que non! Les phoques ne sont pas nés pour se faire tuer ou souffrir de cette façon, donc je crois qu’il est clair que les chasseurs n'ont aucun droit de les faire souffrir avant de les tuer.

Charles Corneau-Gauvin a dit…

Selon moi, la chasse aux phoques ne devrait pas être abolie simplement parce que des célébrités comme Pamela Anderson décident que les phoques sont trop mignons pour être tué. Par contre, je suis d'accord avec la nouvelle législation afin de garantir la mort rapide et peu douloureuse de ceux-ci. Comme l'auteure Virginie Roy l'a mentionné, '' Battre à mort un phoque ne peut pas être fait d'une façon compréhensive et compatissante, avec bonté, humanité et générosité.'' Je crois cependant que cela peut être fais de façon à abréger les souffrances au maximum de l'animal afin de rendre la chasse aux phoques la plus humaine possible.

philippe frégeau a dit…

Je crois que puisque le phoque n'est pas une espèce en danger, je ne suis pas contre le fait que la chasse continue. Il ne faut donc pas trop s'allarmer face à leur situation. Concernant la façon de les tuer, de façon générale, les animaux sont tués de manière grotesque partout autour de la terre. Je ne suis pas d'accord avec la manière donc ils procèdent présentement , par contre, je me dis que cette manière de tuer n'est pas meilleure qu'une autre. À la fin de la journée, il y aura toujours de la cruaté lorsqu'il va s'agir de mettre terme à la vie d'une créature.

Pour conclure, je suis en faveur de diminuer les souffrances de l'animal au maximum au moment de mettre fin à ses jours. Toutefois, il faut le faire le plus rapidement possible et améliorer les façons de les abattres.

Maxime-Cyprien Wanssi a dit…

Les animaux sont des êtres vivants,par conséquent il devrait mourir d'une façon digne.Malgré leur status d'amimaux les phoques ne devraient par mourir de la sorte c'est-à-dire d'une manière horrible.Ce qui m'amène à dire que oui les phoques ne sont plus danger,mais ils le sont encore dû à la façon que nous les tuons.Je dit nous,car nous sommes également responsable,le gourvernemant ne doit pas agir pour nous.Je crois que en tant que citoyen nous devrions prendre des décisions favorables.Tel que avoir assommé ou tiré sur le phoque, le chasseur devra regarder ses yeux pour s’assurer qu’il est mort. S’il ne l’est pas, le chasseur doit couper la principale artère de l’animal.Ceci est un début et nous devons commencer à prendre des décisions comme celle-ci.Nous devons conserver notre écosystème,car je rappelle que nous vivons sur terre où les éléments de la nature sont interdépendants.

Nolasco Encina a dit…

Selon moi, les phoques ne sont pas en danger. Cela ne s'applique pas seulement aux phoques. Tous être humain ou espèce animale est toujours en danger. Malgré l'endroit ou la situation, l'être humain et l'animal doivent toujours avoir une petite crainte à ce qui pourrait lui arriver. En revenant au sujet des phoques, je crois que malgré la quantité énorme de phoques se situant au Canada , cela ne signifie pas nécessairement qu'ils sont en danger. En faisant référence à la définition du mot humain dans le dictionnaire, je ne crois pas que cela soit vrai , car tout être n'est pas toujours compréhensif et compatissant, et n'agit pas avec humanité, bonté et générosité. Je crois que tout être humain à un côté cruel à sa manière d'agir, mais je crois que la législation imposée par rapport à la manière de tuer un phoque est excellente. En conclusion, je crois que nous devons tuer avec le besoin de le faire et non l'envie , et également en tenant compte de pas faire souffrir le phoque !

Mélody Whaley a dit…

Je trouve cela absolument épouvantable de réduire à une simple banalité le taux de mortalité énormément élevé de phoques sous le prétexte qu’ils ne sont pas en voie d’extinction et qu’ils sont supposément tuer de façon rapide et sans trop de sensation désagréable. De plus, à la suite de la Commission Malouf, le gouvernement c’est un peu servi de la situation pour dire que cette espèce d’animal ne souffrira pas lors de son abattage grâce à la nouvelle manière de les tuer, mais es-ce vraiment vrai ? Es-ce que tous les chasseurs vont en tenir compte et l’appliquer? Et puis, comment va faire notre cher gouvernement pour savoir qui n’applique pas bien cette loi ? De plus, quelles sanctions les criminels vont-ils devoir payer après n’avoir pas utilisé la bonne manière d’abattage? Voilà des questions qu’il faut se poser. Allons-nous laisser abattre des milliers de phoques par année afin qu’il nous en reste plus sur la planète dans quelques années comme notre situation pétrolière actuelle. Consommer, consommer et puis il ne nous en reste plus. Je crois que nous devrions créer une loi qui visera à mettre un quottât maximal pour le nombre de phoques tués par année. Grâce à cela, nous veillerons à ce que cette espèce continue a avoir sa place parmi notre faune sauvage.

Pierre-Alexandre Bigras a dit…

Selon moi, la chasse aux phoques ne devrait pas être abolie, mais les gens qui pratique cette chasse devraient revoir leur façon de faire.

La chasse aux phoques permet de contrôler les populations. Dans la nature, tout espèce vivante est menacée par un prédateur naturel et dans le cas du phoque, le prédateur est l'homme. Les gens qui chasse le phoque vivent de cette activité. Ils ne peuvent pas se permettent d'arrêter de chasser car ils ont besoins de cette viande pour se nourrir et de l'argent des peaux pour le reste de leurs activités économiques. La vente de fourrure de phoque est une activité de commerce internationale pour le Canada.

Oui la méthode utilisée pour mettre fin au jours des phoques peut sembler cruelle et on en fait un mauvaise publicité, mais il s'agit d'un mal nécessaire.

Laurie Beaulieu-Mathurin a dit…

Bon, j’avoue avoir une opinion mitigé sur le sujet. Personnellement, je pense qu’il n’y aucun mal à chasser une espèce qui n’est pas menacée d’extinction comme c’est le cas pour le phoque. Cette chasse est l’activité économique motrice de plusieurs municipalités du Québec et l’interdire pour des motifs futiles comme ‘’c’est pas beau voir un bébé phoque dans une flaque de sang’’ reviendrait à tuer ces villages pour des raisons esthétiques. On tue je ne sais pas combien de poules, de vaches et de porcs par année dans des conditions tout aussi atroces et personne ne chiale, pour la simple raison que OUI un phoque c’est plus mignon avec ses grands yeux humides qu’une poule. D’une autre part, il est sure que je n’apprécie pas le fait qu’on fasse souffrir des animaux inutilement alors qu’on peut abréger leur souffrances. Mais il faut descendre de son piédestal et revenir sur terre, des milliers d’humain vivre à travers le monde dans des conditions abominables. Je parle d’hommes, de femmes et d’enfants qui meurt de façon encore plus atroce ou vivent dans des conditions encore plus inhumaines que celles réservé aux phoques. D’humains qui se font battre, frapper, mutiler, violer, exploiter, abuser et une liste plus longue encore que celle que je viens d’énumérer par d’autres humains. Comment voulez-vous qu’on traite de manière convenable les animaux alors que nous sommes incapables de nous montrer ainsi avec nos semblables?! Je suis donc en accord avec ce questionnement que l’auteure du texte Virginie Roy, y a soulevé. Mais je ne pleurer pas devant ces animaux massacrer tant et aussi longtemps que des humains vivront pire. Et connaissant malheureusement trop bien l’humain, je ne pense pas m’apitoyer, un jour, sur le sort de ces animaux.

Sébastien Bruyère a dit…

La chasse aux phoques était auparavant pratiquée par les Inuits pour des raisons de survie. Ils en récupéraient la viande, la fourrure, la graisse et les os pour se faire des vêtements, manger et autres nécessités.
Mais, dans les années 1970, ce n’était plus le cas. Le côté économique de la chasse avait pris le dessus et a beaucoup réduit la population de phoques, jusqu’à ce que des lois qui interdisent la chasse soient établies par le gouvernement du Canada. Cela a permis à la population de phoque du Groenland de passer de 1,7 millions à 5,2 millions. Cependant, même si cette espèce marine n’est plus en danger, ça ne donne aucun droit de laisser souffrir un animal avant sa mort comme le font les humains lors de la chasse aux phoques.
Pour finir, ce n’est pas parce que la chasse est pratiquée par l’humain depuis le tout début des temps qu’il a le droit d’utiliser ces moyens barbares pour tuer un animal quelconque. Le gourdin n’est pas un moyen pour abréger les souffrances de ces animaux marins. Un fusil serait beaucoup plus approprié pour cette chasse même si une partie de la viande et de la peau serait touchée. Les moyens utilisés de nos jours pour la chasse aux phoques sont cruels mais, est-ce qu’un jour les humains arrêteront d’agir comme des barbares?

Philippe Talbot a dit…

Au risque de passer, à tort, pour le «Pourfendeur de nos amis les animaux» et celui qui croit que les hommes ont le droit d’abuser sans scrupule des ressources qui les entourent, je crois tout simplement qu’il ne faut pas virer «grano» pour des taches de sang rouges sur fond blanc. Et je m’explique (évidemment car sinon Paul McCartney va venir poser devant chez moi avec sa femme pour me sensibiliser). Le phoque, aussi mignon soit-il, reste un animal. L’homme, aussi con soit-il dans son évolution en société, reste un animal. Et qu’est-ce que font les animaux dans la nature pour subsister ? Ils se mangent selon leur taille, point final. Oui je sais qu’on ne retire pas des phoques qu’uniquement de la nourriture mais aussi des fourrures, de l’huile et du collagène et ce seulement dans le but d’enrichir les hommes, mais ce n’est même pas ce qui dérange l’opinion publique : la seule raison de ce mouvement médiatique envers les phoques est la pitié que ressens l’humain civilisé et vivant dans la ouate en voyant des images où on présente ce qu’est réellement une chaîne alimentaire. L’homme mange le phoque, qui autrement aurait déchiqueté un poisson qui lui-même aurait souffert quelques minutes. Est-ce qu’on s’en inquiète du sort du poisson ? Non, pas le moins du monde et ce seulement parce que c’est caché de nos yeux si sensibles à tout ce qui n’est pas joyeux, doux et mignon. Oui je préférerais qu’on tue les phoques le plus rapidement possible et sans souffrance (même si les lois légiférant cela ne peuvent pas selon moi être appliquées systématiquement) mais je trouverais stupide d’arrêter complètement la chasse aux phoques par pitié. Et moi aussi je trouve cela complètement absurde prétendre qu’on peut rendre la chasse aux phoques plus humaine et moins barbare. En terminant, n’oublions pas que l’homme s’est en partie développé du singe en consommant plus de viande (+de protéine = +gros cerveau), viande qu’il avait auparavant dû se procurer (en tuant atrocement un pauvre animal impuissant par le biais de tortures sadiques et répugnantes, le sang giclant sur le visage de l’homme et les tripes de l’animal s’empilant telles un trophée à côté du prédateur sanguinaire).

Nicolas L'Homme a dit…

À mon avis, je crois que la chasse aux phoques devrait se poursuivre puisque selon moi, chasser est une activité humaine qui ne date pas d’hier. Depuis toujours l’être humain pratique la chasse, donc pouvez-vous m’expliquer pourquoi devrait-on arrêter de chasser les phoques s’ils ne sont pas en voie d’extinction? Bien sur, si un jour le phoque serait sur le bord de disparaitre a tout jamais, je serai certainement contre le fait de pratiquer la chasse aux phoques mais, d’ici là je crois que la chasse aux phoques devrait continuer. Certains diront que les chasseurs de phoques font souffrir les phoques mais croyez-vous qu’ils le font volontairement et qu’ils font exprès de donner le coup à la mauvaise place? Je suis sur à 100% que non! De plus, je ne vois pas de grandes différences entre un chasseur de phoques et un chasseur de gibiers puisque, par exemple, lorsqu’un chasseur de gibiers tire sur un orignal et qu’il ne l’atteint pas au cœur, le chasseur peut poursuivre l’animal sur une longue distance avant de l’achever ou que l’animal ait succombé à ses blessures. En conclusion, je pense que la chasse aux phoques ne doit pas être abolie, mais plutôt mieux réglementer!

christophe Bernier a dit…

Le phoque est un des plus merveilleux animal aquatique. Malheureusement comme vous l'avez lu un peu plutôt leur vie fini souvent d'une façon tragique et inimaginable. Pour commenter se sujet il faudrait s'informer sur le mode de vie des phoque comme ceux-ci sont des animaux, ils doivent se nourrire .Ce dernier ce nourrire de poissons ,de crustacés et de mollusques.Son nombre exorbitant crée un dérèglement dans la chaine alimantaire aquatique.Ce dernier est entrain d'éliminer une espèces aquatique dans le Nord de l'hémisphère.De mon avis le gourvernement canadien a fait un bon choix en créant cette loi parce que sinon c'est tout la pyramide alimentaire animal qui est en danger. Pour conclure les chasseurs de phoques devraient bien respecter cette loi parce que même si ces animaux ne sont pas le plus intelligent il souffre et personne sur la Terre devrait avoir une souffrance physique.

Antoni Ferrari a dit…

Je crois que même si la population de phoques n’est pas en danger, la chasse de devrait pas être permise. Le fait que celle-ci ne sois pas en danger, ne donne pas de droit d’agir avec une telle barbarie. Même si le gouvernement a implanté une nouvelle législation qui assure que la mort des phoques sera rapide et peu douloureuse, il n’y aura pas de surveillance pour s’assurer que les chasseurs suivent les procédures a la lettre.

Je crois donc que pour faire cesser un tel comportement envers les animaux, venant des humains, être qui selon la définition du petit robert, devrait agir d’une toute autre façon, nous devrions abolir la chasse au phoque.

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